En marge de la Coupe du Monde en Russie , le Comité exécutif de la Confédération Africaine de Football (CAF), s’est réuni le lundi 11 juin 2018 à Moscou . Il s’agissait pour le Président Ahmad Ahmad et les membres de son comité d’examiner et de prendre des décisions sur les sujets brûlants d’actualité footbalistique africaine. Notamment , la sanction et la démission du président Kwesi Nyantakyi de la Fédération ghanéenne de football. Selon le communiqué final du Comité exécutif de la CAF , le poste vacant laissé par le désormais ancien premier vice-président de la CAF sera pourvu le 30 septembre 2018 au Caire au cours d’une assemblée générale extraordinaire.
’’ Une assemblée générale extraordinaire sera organisée le 30 septembre 2018 en Égypte afin de pourvoir au poste laissé vacant au Conseil de la FIFA pour le groupe linguistique anglophone suite à la démission de M. Kwesi Nyantakyi, tant au conseil de la FIFA qu’au Comité Exécutif de la CAF, dont il était le 1er vice président ’’, indique le premier point de la décision de la rencontre du C.E de la CAF. Une décision partiellement en conformité avec l’article 22 alinéa 13 des statuts de la CAF. Car, l’article évoque une assemblée générale ordinaire, quand la décision du 11 juin de la CAF parle d’assemblée générale extraordinaire. ’’ En cas de vacance au poste au sein du Comité exécutif de la CAF, il sera procédé à son remplacement à la prochaine assemblée générale ordinaire pour le restant du mandat à couvrir’’, stipule l’article 22 des statuts de la CAF.
N’empêche, Kwesi Nyantakyi sera remplacé.
Autre point à souligner, le ’’gouvernement du foot’’ africain n’a en aucun cas condamné, encore moins regretté la corruption dévoilée dans le football africain. Et pourtant le Président Ahmad Ahmad avait fait de la corruption dans le milieu son cheval de bataille. Autre fait à relever, c’est que le Comité exécutif de la CAF ne s’est point prononcé sur le cas des arbitres africains épinglés dans le scandale de corruption au Ghana.
Ange K
’’ Une assemblée générale extraordinaire sera organisée le 30 septembre 2018 en Égypte afin de pourvoir au poste laissé vacant au Conseil de la FIFA pour le groupe linguistique anglophone suite à la démission de M. Kwesi Nyantakyi, tant au conseil de la FIFA qu’au Comité Exécutif de la CAF, dont il était le 1er vice président ’’, indique le premier point de la décision de la rencontre du C.E de la CAF. Une décision partiellement en conformité avec l’article 22 alinéa 13 des statuts de la CAF. Car, l’article évoque une assemblée générale ordinaire, quand la décision du 11 juin de la CAF parle d’assemblée générale extraordinaire. ’’ En cas de vacance au poste au sein du Comité exécutif de la CAF, il sera procédé à son remplacement à la prochaine assemblée générale ordinaire pour le restant du mandat à couvrir’’, stipule l’article 22 des statuts de la CAF.
N’empêche, Kwesi Nyantakyi sera remplacé.
Autre point à souligner, le ’’gouvernement du foot’’ africain n’a en aucun cas condamné, encore moins regretté la corruption dévoilée dans le football africain. Et pourtant le Président Ahmad Ahmad avait fait de la corruption dans le milieu son cheval de bataille. Autre fait à relever, c’est que le Comité exécutif de la CAF ne s’est point prononcé sur le cas des arbitres africains épinglés dans le scandale de corruption au Ghana.
Ange K