Des manifestations éclatées se déroulent en Côte d’Ivoire du 10 au 18 juin dans le cadre des festivités commémoratives de la Journée de l’enfant africain prévue, samedi, sous le thème, «protéger les enfants contre les violences, c’est notre responsabilité à tous».
Pour cette édition 2018, l’Union africaine a retenu le thème, « ne laissez aucun enfant derrière pour le développement de l’Afrique », a indiqué vendredi à Abidjan, la ministre ivoirienne de la femme, de la protection de l’enfant et de la solidarité, Pr Mariatou Koné dans une adresse à la presse.
Sur le plan national, la commémoration axée sur le thème, «protéger les enfants contre les violences, c’est notre responsabilité à tous», réaffirme la ferme volonté des autorités de « faire de la protection de l’enfant, une priorité nationale en y impliquant toutes les couches socioprofessionnelles, tous les acteurs du secteur public et privé, tous les partenaires techniques et financiers, toutes les organisations de la société civile ».
« La responsabilité de l’Etat et de toute la société est engagée, celle des parents l’est doublement », a insisté la ministre, estimant qu’ensemble « nous devrons protéger les enfants contre toutes les formes de violences, mariages précoces, mutilations génitales féminines, exploitations, traites, abus… ».
Selon elle, «l’enfant est la clé du développement durable », c’est pourquoi, la mobilisation de tous est requise « en vue de préserver ses droits ».
Pour bénéficier du dividende démographique et s’engager dans la voie du développement durable, a ajouté Pr Mariatou Koné, « notre continent doit offrir des chances égales d’épanouissement et de réussite à tous les enfants quel que soit le milieu d’origine et la classe sociale ».
« Tous les enfants doivent bénéficier du droit à l’éducation, à la santé, à une alimentation équilibrée, à l’intégrité physique et morale, nonobstant les barrières culturelles, sociales ou économiques », a-t-elle conclu.
La Journée de l’Enfant africain est un événement annuel qui commémore le massacre des enfants de Soweto de 1976 par le régime de l’apartheid. Elle est organisée chaque année depuis le 16 juin 1991 par l'Organisation de l'unité africaine (OUA), devenue Union africaine (UA).
LS/APA
Pour cette édition 2018, l’Union africaine a retenu le thème, « ne laissez aucun enfant derrière pour le développement de l’Afrique », a indiqué vendredi à Abidjan, la ministre ivoirienne de la femme, de la protection de l’enfant et de la solidarité, Pr Mariatou Koné dans une adresse à la presse.
Sur le plan national, la commémoration axée sur le thème, «protéger les enfants contre les violences, c’est notre responsabilité à tous», réaffirme la ferme volonté des autorités de « faire de la protection de l’enfant, une priorité nationale en y impliquant toutes les couches socioprofessionnelles, tous les acteurs du secteur public et privé, tous les partenaires techniques et financiers, toutes les organisations de la société civile ».
« La responsabilité de l’Etat et de toute la société est engagée, celle des parents l’est doublement », a insisté la ministre, estimant qu’ensemble « nous devrons protéger les enfants contre toutes les formes de violences, mariages précoces, mutilations génitales féminines, exploitations, traites, abus… ».
Selon elle, «l’enfant est la clé du développement durable », c’est pourquoi, la mobilisation de tous est requise « en vue de préserver ses droits ».
Pour bénéficier du dividende démographique et s’engager dans la voie du développement durable, a ajouté Pr Mariatou Koné, « notre continent doit offrir des chances égales d’épanouissement et de réussite à tous les enfants quel que soit le milieu d’origine et la classe sociale ».
« Tous les enfants doivent bénéficier du droit à l’éducation, à la santé, à une alimentation équilibrée, à l’intégrité physique et morale, nonobstant les barrières culturelles, sociales ou économiques », a-t-elle conclu.
La Journée de l’Enfant africain est un événement annuel qui commémore le massacre des enfants de Soweto de 1976 par le régime de l’apartheid. Elle est organisée chaque année depuis le 16 juin 1991 par l'Organisation de l'unité africaine (OUA), devenue Union africaine (UA).
LS/APA