En Côte d’Ivoire, 72% des enfants de 1 à 2 ans ont fait l’objet de mesures disciplinaires violentes, a déclaré samedi à Bingerville ( Banlieue Est d’Abidjan), Sophie Leonard, la représentante adjointe du Fonds des Nations Unies pour l’enfance ( UNICEF) dans le pays.
« Selon les données les plus récentes que nous avons sur la Côte d’Ivoire, 72% des enfants de 1 à 2 ans ont fait l’objet de mesures disciplinaires violentes dont 7,6% ont été jugées sévères», a affirmé Mme Leonard qui s’exprimait lors de la célébration officielle de la 28ème édition de la Journée de l’enfant africain ( JEA).
Poursuivant, elle a déploré que dans le monde, « toutes les cinq minutes, un enfant meurt à cause des actes de violences » avant de « demander » aux autorités ivoiriennes « des mesures supplémentaires pour éradiquer les violences à l’égard des enfants ».
Dans la même veine, la présidente du parlement national des enfants de Côte d’Ivoire, Grâce Akaffou a fait le plaidoyer auprès des autorités ivoiriennes afin qu’elles protègent davantage les enfants.
« Pour nous, il est tout à fait possible de vivre dans une Côte d’Ivoire débarrassée de toutes les formes de violences à l’égard des enfants », a dit Mademoiselle Akaffou indiquant pour terminer à la ministre de la femme, de la protection de l’enfant et de la solidarité, Mariatou Koné qui a présidé cette célébration officielle que « les enfants de Côte d’Ivoire comptent sur vous ».
La journée de l’enfant africain a été instituée en 1990 par l’organisation de l’unité africaine ( OUA) pour commémorer la répression sanglante d’une marche d’élèves sud-africains à Soweto en 1976 qui s’est soldée par le massacre d’une centaine d’enfants qui ne réclamaient que des meilleures conditions d’études.
LB/ls/APA
« Selon les données les plus récentes que nous avons sur la Côte d’Ivoire, 72% des enfants de 1 à 2 ans ont fait l’objet de mesures disciplinaires violentes dont 7,6% ont été jugées sévères», a affirmé Mme Leonard qui s’exprimait lors de la célébration officielle de la 28ème édition de la Journée de l’enfant africain ( JEA).
Poursuivant, elle a déploré que dans le monde, « toutes les cinq minutes, un enfant meurt à cause des actes de violences » avant de « demander » aux autorités ivoiriennes « des mesures supplémentaires pour éradiquer les violences à l’égard des enfants ».
Dans la même veine, la présidente du parlement national des enfants de Côte d’Ivoire, Grâce Akaffou a fait le plaidoyer auprès des autorités ivoiriennes afin qu’elles protègent davantage les enfants.
« Pour nous, il est tout à fait possible de vivre dans une Côte d’Ivoire débarrassée de toutes les formes de violences à l’égard des enfants », a dit Mademoiselle Akaffou indiquant pour terminer à la ministre de la femme, de la protection de l’enfant et de la solidarité, Mariatou Koné qui a présidé cette célébration officielle que « les enfants de Côte d’Ivoire comptent sur vous ».
La journée de l’enfant africain a été instituée en 1990 par l’organisation de l’unité africaine ( OUA) pour commémorer la répression sanglante d’une marche d’élèves sud-africains à Soweto en 1976 qui s’est soldée par le massacre d’une centaine d’enfants qui ne réclamaient que des meilleures conditions d’études.
LB/ls/APA