Abidjan - Des éléments des forces de défenses et de sécurité (policiers et gendarmes) ont achevé, à l’Ecole nationale de police (ENP) d’Abidjan-Cocody, un atelier de renforcement des capacités sur les techniques d’interpellation sur la voie publique.
Selon le directeur du Laboratoire central de la police nationale, Médecin Commissaire principal Ibrahim Akabrou, ce séminaire qui a duré deux semaines, avait pour but d’améliorer les techniques d’interventions des éléments de différentes unités militaires et paramilitaires afin d’enrayer les bavures dans leurs rangs.
Elle a regroupé les éléments de la brigade de recherche et d’intervention dans les techniques de filature, d’interpellation et de minotage et les techniques d’intervention en milieu clos.
La formation a permis aussi de recycler des agents de la police scientifique de neuf pays d’Afrique sur la balistique. Il s’est agi de revisiter le processus en matière de balistique, c’est-à-dire, depuis la scène du crime jusqu’au laboratoire pour les résultats.
Cette formation leur a été donnée par des experts français dont Christian Gimeno qui a salué la bonne réaction des participants aux différents modules sur lesquels ils ont été instruits. Il a dit sa confiance quant à leurs capacités de les restituer auprès de leurs différents services.
Lors de la cérémonie de clôture, vendredi, Ibrahim Akabrou a remercié la direction de la coopération sécurité et défense de la France pour tous efforts qu’elle consent pour la sécurité des ivoiriens. Aux impétrants, il a dit compter sur eux pour mettre à profit, les acquis de cette formation qui sera bénéfique pour eux.
« Il était nécessaire que vous soyez au même niveau d’information que les autres et que vous appliquez le protocole d’accord. Nous avons la conviction que vous saurez les relayer aux autres agents de vos différents services », s’est-il réjoui.
Cette formation s’inscrit dans le cadre de l’Appui au renforcement de la police technique et scientifique en Afrique de l’Ouest (ARTECAO). C’est un projet d’une durée de trois années à vocation régionale. Il dispose d’une composante ivoirienne et vise au renforcement capacitaire des agents chargés investigations techniques et scientifique de la gendarmerie et de la police nationale.
Elle a été financée par l’Agence de coopération de sécurité et de défense (ACSD) de la France.
(AIP)
Fmo
Selon le directeur du Laboratoire central de la police nationale, Médecin Commissaire principal Ibrahim Akabrou, ce séminaire qui a duré deux semaines, avait pour but d’améliorer les techniques d’interventions des éléments de différentes unités militaires et paramilitaires afin d’enrayer les bavures dans leurs rangs.
Elle a regroupé les éléments de la brigade de recherche et d’intervention dans les techniques de filature, d’interpellation et de minotage et les techniques d’intervention en milieu clos.
La formation a permis aussi de recycler des agents de la police scientifique de neuf pays d’Afrique sur la balistique. Il s’est agi de revisiter le processus en matière de balistique, c’est-à-dire, depuis la scène du crime jusqu’au laboratoire pour les résultats.
Cette formation leur a été donnée par des experts français dont Christian Gimeno qui a salué la bonne réaction des participants aux différents modules sur lesquels ils ont été instruits. Il a dit sa confiance quant à leurs capacités de les restituer auprès de leurs différents services.
Lors de la cérémonie de clôture, vendredi, Ibrahim Akabrou a remercié la direction de la coopération sécurité et défense de la France pour tous efforts qu’elle consent pour la sécurité des ivoiriens. Aux impétrants, il a dit compter sur eux pour mettre à profit, les acquis de cette formation qui sera bénéfique pour eux.
« Il était nécessaire que vous soyez au même niveau d’information que les autres et que vous appliquez le protocole d’accord. Nous avons la conviction que vous saurez les relayer aux autres agents de vos différents services », s’est-il réjoui.
Cette formation s’inscrit dans le cadre de l’Appui au renforcement de la police technique et scientifique en Afrique de l’Ouest (ARTECAO). C’est un projet d’une durée de trois années à vocation régionale. Il dispose d’une composante ivoirienne et vise au renforcement capacitaire des agents chargés investigations techniques et scientifique de la gendarmerie et de la police nationale.
Elle a été financée par l’Agence de coopération de sécurité et de défense (ACSD) de la France.
(AIP)
Fmo