Bingerville, 17 juin (AIP) - La 28e édition de la Journée de l’enfant africain a été célébrée officiellement en Côte d’Ivoire ce samedi à l’orphelinat de Bingerville (Banlieue Est d’Abidjan), en présence du Professeur Mariatou Koné, ministre de la femme, de la protection de l’enfant et de la solidarité.
Selon la ministre Mariatou Koné, cette journée est une opportunité pour le bilan de la situation de l’enfant en Afrique, en général et en Côte d’Ivoire, en particulier. Ceci, afin «d’apprécier les efforts déjà réalisés». Mais aussi, «de relever les défis à surmonter pour une meilleure prise en compte de leurs besoins».
Poursuivant la ministre a indiqué que la situation des enfants est l’une des priorités du gouvernement en ce sens que «sous la houlette du Président Alassane Ouattara et du premier ministre Amadou Gon Coulibaly, la Côte d’Ivoire s’est engagée à créer les conditions d’un total épanouissement pour tous les enfants grâce à un accès équitable à la santé, à l’éducation à une saine alimentation, à la protection etc».
«La nouvelle Constitution du 8 novembre 2016 marque la ferme volonté de l’Etat de Côte d’Ivoire à renforcer la promotion et la défense des droits humains y compris les droits des enfants. Elle interdit la torture et les traitements humiliants, cruels, inhumains et dégradants y compris les violences contre les femmes (…)», a ajouté Mariatou Koné.
La Journée de l’enfant africain, rappelle-t-on, a instituée par l’Union africaine en juillet 1990. Elle commémore la répression sanglante de la marche des milliers d’élèves descendus dans la rue à Sowétho en 1976 pour protester contre la mauvaise qualité de leur éducation. Le bilan de cette manifestation qui s’est étendue sur 15 jours, faisait état de plusieurs centaines d’enfants tués et plus d’un millier de blessés.
Intervenant à cette occasion, la présidente du Parlement des enfants de Côte d’Ivoire, Grâce Lath Akaffoua a 8souhaité que le programme de la Journée de l’enfant africain 2018 qui a consisté à la diffusion de communications au grand public à travers les radios de proximité et la télévision ainsi que des formations sur la problématique de la violence faite aux enfants soit«perpétué afin de sensibiliser les uns et les autres à cesser les violences envers les enfants, filles et garçons quelques soient les régions, les ethnies, les religions et la couche sociale auxquels ils appartiennent».
«Protéger les enfants contre les violences, c’est notre responsabilité à tous», tel est le thème de cette édition.
(AIP)
sn/bsp/kam
Selon la ministre Mariatou Koné, cette journée est une opportunité pour le bilan de la situation de l’enfant en Afrique, en général et en Côte d’Ivoire, en particulier. Ceci, afin «d’apprécier les efforts déjà réalisés». Mais aussi, «de relever les défis à surmonter pour une meilleure prise en compte de leurs besoins».
Poursuivant la ministre a indiqué que la situation des enfants est l’une des priorités du gouvernement en ce sens que «sous la houlette du Président Alassane Ouattara et du premier ministre Amadou Gon Coulibaly, la Côte d’Ivoire s’est engagée à créer les conditions d’un total épanouissement pour tous les enfants grâce à un accès équitable à la santé, à l’éducation à une saine alimentation, à la protection etc».
«La nouvelle Constitution du 8 novembre 2016 marque la ferme volonté de l’Etat de Côte d’Ivoire à renforcer la promotion et la défense des droits humains y compris les droits des enfants. Elle interdit la torture et les traitements humiliants, cruels, inhumains et dégradants y compris les violences contre les femmes (…)», a ajouté Mariatou Koné.
La Journée de l’enfant africain, rappelle-t-on, a instituée par l’Union africaine en juillet 1990. Elle commémore la répression sanglante de la marche des milliers d’élèves descendus dans la rue à Sowétho en 1976 pour protester contre la mauvaise qualité de leur éducation. Le bilan de cette manifestation qui s’est étendue sur 15 jours, faisait état de plusieurs centaines d’enfants tués et plus d’un millier de blessés.
Intervenant à cette occasion, la présidente du Parlement des enfants de Côte d’Ivoire, Grâce Lath Akaffoua a 8souhaité que le programme de la Journée de l’enfant africain 2018 qui a consisté à la diffusion de communications au grand public à travers les radios de proximité et la télévision ainsi que des formations sur la problématique de la violence faite aux enfants soit«perpétué afin de sensibiliser les uns et les autres à cesser les violences envers les enfants, filles et garçons quelques soient les régions, les ethnies, les religions et la couche sociale auxquels ils appartiennent».
«Protéger les enfants contre les violences, c’est notre responsabilité à tous», tel est le thème de cette édition.
(AIP)
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