Abidjan– Mettant à exécution leur menace, les Etats-Unis ont annoncé mardi soir, leur retrait du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU.
L’annonce a été faite par l’ambassadrice des Etats-Unis auprès des Nations Unies, Nikki Haley, face à la presse. Elle qualifié cette institution de "cloaque de partis pris politiques".
"Nous prenons cette mesure parce que notre engagement ne nous permet pas de continuer à faire partie d’une organisation hypocrite et servant ses propres intérêts, qui fait des droits de l’homme un sujet de moquerie", a précisé la diplomate.
Elle a expliqué cette décision par le fait qu’aucun autre pays n’avait eu le courage de soutenir les combats menés par les Etats-Unis pour réformer une institution qu’elle a qualifiée encore "d’hypocrite et d’égoïste".
"Ce faisant, je tiens à préciser très clairement que cette décision n’est pas un retrait de nos engagements pour les droits de l’homme", a-t-elle dit aux côtés du secrétaire d’Etat, Mike Pompeo.
De son côté, l’ONU a dit regretter cette décision des Etats-Unis. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, aurait préféré que les Etats-Unis restent au Conseil des droits de l’homme, a déclaré son porte-parole, estimant que Washington "joue un rôle très important dans la promotion et la protection des droits de l’Homme dans le monde".
Depuis l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, en janvier 2017, les Etats-Unis se sont déjà retirés de l’UNESCO, de l’Accord de Paris sur le climat, de l’accord nucléaire avec l’Iran, coupant en outre plusieurs financements à des organes de l’ONU.
cmas
L’annonce a été faite par l’ambassadrice des Etats-Unis auprès des Nations Unies, Nikki Haley, face à la presse. Elle qualifié cette institution de "cloaque de partis pris politiques".
"Nous prenons cette mesure parce que notre engagement ne nous permet pas de continuer à faire partie d’une organisation hypocrite et servant ses propres intérêts, qui fait des droits de l’homme un sujet de moquerie", a précisé la diplomate.
Elle a expliqué cette décision par le fait qu’aucun autre pays n’avait eu le courage de soutenir les combats menés par les Etats-Unis pour réformer une institution qu’elle a qualifiée encore "d’hypocrite et d’égoïste".
"Ce faisant, je tiens à préciser très clairement que cette décision n’est pas un retrait de nos engagements pour les droits de l’homme", a-t-elle dit aux côtés du secrétaire d’Etat, Mike Pompeo.
De son côté, l’ONU a dit regretter cette décision des Etats-Unis. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, aurait préféré que les Etats-Unis restent au Conseil des droits de l’homme, a déclaré son porte-parole, estimant que Washington "joue un rôle très important dans la promotion et la protection des droits de l’Homme dans le monde".
Depuis l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, en janvier 2017, les Etats-Unis se sont déjà retirés de l’UNESCO, de l’Accord de Paris sur le climat, de l’accord nucléaire avec l’Iran, coupant en outre plusieurs financements à des organes de l’ONU.
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