Korhogo, 06 juil (AIP) – Les épreuves de mathématiques et de géographie pour la série D, de philosophie et de géographie pour la série A2, se sont révélées les plus difficiles de l’examen du baccalauréat qui s’est achevé jeudi en fin de matinée, selon des témoignages recueillis par l’AIP auprès de certains candidats.
De l’avis général des candidats de la série D, l’exercice portant sur les équations différentielles était d’un niveau plus difficile que la moyenne. « Ce n’est pas un exercice-type. Donc, il fallait beaucoup réfléchir pour le traiter », a expliqué Coulibaly Sékou, qui se dit néanmoins confiant à 90%..
Pour ce qui est de l’épreuve de géographie, qui portait sur l’intérêt économique du littoral ivoirien, il avoue, avec regret, avoir négligé le cours sur lequel a porté la question. « Ce sont les derniers cours. Donc on s’est dit que ça n’allait pas tomber », a-t-il dit.
Coulibaly Déborah, 5è de sa classe, selon elle-même, a exactement pointé les mêmes questions sur les équations différentielles en mathématiques et sur l’intérêt économique du littoral ivoirien en géographie. « Mais ça va aller, on espère. On a fait de notre mieux », a-t-elle ajouté, semblant y croire vraiment.
Pour la série A2, l’épreuve de philosophie est citée comme la plus difficile parce que « les thèmes abordés sont complexes », résume Sié Aboubakar. Il s’agit de la religion et de la philosophie.
L’épreuve de géographie, identique pour les deux séries D et A2, suit aussitôt, en termes de difficulté.
La cinquantaine de candidats interrogés a affirmé croire en leurs chances de réussite, estimant que les épreuves étaient d’un niveau « abordable dans l’ensemble ».
(AIP)
kaem/fmo
De l’avis général des candidats de la série D, l’exercice portant sur les équations différentielles était d’un niveau plus difficile que la moyenne. « Ce n’est pas un exercice-type. Donc, il fallait beaucoup réfléchir pour le traiter », a expliqué Coulibaly Sékou, qui se dit néanmoins confiant à 90%..
Pour ce qui est de l’épreuve de géographie, qui portait sur l’intérêt économique du littoral ivoirien, il avoue, avec regret, avoir négligé le cours sur lequel a porté la question. « Ce sont les derniers cours. Donc on s’est dit que ça n’allait pas tomber », a-t-il dit.
Coulibaly Déborah, 5è de sa classe, selon elle-même, a exactement pointé les mêmes questions sur les équations différentielles en mathématiques et sur l’intérêt économique du littoral ivoirien en géographie. « Mais ça va aller, on espère. On a fait de notre mieux », a-t-elle ajouté, semblant y croire vraiment.
Pour la série A2, l’épreuve de philosophie est citée comme la plus difficile parce que « les thèmes abordés sont complexes », résume Sié Aboubakar. Il s’agit de la religion et de la philosophie.
L’épreuve de géographie, identique pour les deux séries D et A2, suit aussitôt, en termes de difficulté.
La cinquantaine de candidats interrogés a affirmé croire en leurs chances de réussite, estimant que les épreuves étaient d’un niveau « abordable dans l’ensemble ».
(AIP)
kaem/fmo