Des journalistes regrettent la suspension de 4 arbitres ivoiriens par la Confédération africaine de football (CAF) pour des faits de corruption qui entachent l’image du sport roi à travers le monde.
« C’est malheureux pour l’image de la Côte d’Ivoire », dénonce le journaliste-sportif au site Sport-ivoire.ci, Patrick Guitey, par ailleurs Consultant sur les antennes de la RTI 1 (chaîne de télévision nationale).
Dans un entretien avec APA, il note que les «hommes en noir» ont été «victimes d’un complot dans lequel ils sont tombés », ajoutant que ces arbitres « auraient dû dénoncer ».
Pour sa part, son confrère Pierre Ephèse Kouamé , Correspondant à Abidjan du site Afrik.Foot estime, tristement que « l’arbitrage ivoirien- est décimé, dépouillé ». « Après Sinko Zeli et Doué Noumandez, Denis Dembélé représentait l’espoir des arbitres », argumente M. Kouamé qui soutient également que « c’est une nouvelle pas trop intéressante pour la Côte d’Ivoire ».
Toutefois, l’homme de média indique que cette décision de la CAF « donnera beaucoup de leçons aux autres professionnels ».
Le journaliste-Blogger, Fernand Dédeh dans une chronique intitulée « voile noir sur l’arbitrage ivoirien » dénonce les méthodes des confrères ghanéens qui ont révélé le scandale « empruntant plus aux pratiques des espions et des activistes des réseaux sociaux qu’aux règles déontologiques et éthiques des journalistes ».
« Dembelé Denis était promu à un bel avenir dans l’arbitrage africain(…) Il était bien noté à la CAF. Malheureusement, il cachait cette faiblesse face à l’argent », écrit Fernand Dédeh via les réseaux sociaux.
Le jury disciplinaire de la Confédération africaine de football (CAF), a suspendu quatre arbitres ivoiriens au terme d'une réunion dont l'objet était de statuer sur les allégations de corruption formulées dans les média.
Il s'agit respectivement de Dembélé Denis (arbitre) suspendu pour 6 années de toute activité liée au football de la CAF, Marius Tan (arbitre assistant) suspendu pour 2 années, Bi Valère Gouho (arbitre assistant) suspendu pour 2 années et Coulibaly Abou (arbitre) suspendu pour 2 années.
En plus de ces quatre arbitres ivoiriens, plusieurs autres originaires de divers pays africains dont le Togo, le Mali, le Ghana et le Burkina Faso ont été suspendus par la CAF.
Cette situation intervient au moment où le football ivoirien vit une période de troubles. Des clubs et des groupements d’intérêts s’opposent à la gestion de l’actuelle équipe dirigeante du football ivoirien.
SY/hs/ls/APA
« C’est malheureux pour l’image de la Côte d’Ivoire », dénonce le journaliste-sportif au site Sport-ivoire.ci, Patrick Guitey, par ailleurs Consultant sur les antennes de la RTI 1 (chaîne de télévision nationale).
Dans un entretien avec APA, il note que les «hommes en noir» ont été «victimes d’un complot dans lequel ils sont tombés », ajoutant que ces arbitres « auraient dû dénoncer ».
Pour sa part, son confrère Pierre Ephèse Kouamé , Correspondant à Abidjan du site Afrik.Foot estime, tristement que « l’arbitrage ivoirien- est décimé, dépouillé ». « Après Sinko Zeli et Doué Noumandez, Denis Dembélé représentait l’espoir des arbitres », argumente M. Kouamé qui soutient également que « c’est une nouvelle pas trop intéressante pour la Côte d’Ivoire ».
Toutefois, l’homme de média indique que cette décision de la CAF « donnera beaucoup de leçons aux autres professionnels ».
Le journaliste-Blogger, Fernand Dédeh dans une chronique intitulée « voile noir sur l’arbitrage ivoirien » dénonce les méthodes des confrères ghanéens qui ont révélé le scandale « empruntant plus aux pratiques des espions et des activistes des réseaux sociaux qu’aux règles déontologiques et éthiques des journalistes ».
« Dembelé Denis était promu à un bel avenir dans l’arbitrage africain(…) Il était bien noté à la CAF. Malheureusement, il cachait cette faiblesse face à l’argent », écrit Fernand Dédeh via les réseaux sociaux.
Le jury disciplinaire de la Confédération africaine de football (CAF), a suspendu quatre arbitres ivoiriens au terme d'une réunion dont l'objet était de statuer sur les allégations de corruption formulées dans les média.
Il s'agit respectivement de Dembélé Denis (arbitre) suspendu pour 6 années de toute activité liée au football de la CAF, Marius Tan (arbitre assistant) suspendu pour 2 années, Bi Valère Gouho (arbitre assistant) suspendu pour 2 années et Coulibaly Abou (arbitre) suspendu pour 2 années.
En plus de ces quatre arbitres ivoiriens, plusieurs autres originaires de divers pays africains dont le Togo, le Mali, le Ghana et le Burkina Faso ont été suspendus par la CAF.
Cette situation intervient au moment où le football ivoirien vit une période de troubles. Des clubs et des groupements d’intérêts s’opposent à la gestion de l’actuelle équipe dirigeante du football ivoirien.
SY/hs/ls/APA