San Pedro- Les forces de défense et de sécurité ont été formées, à San Pedro, à la détection des indices de radicalisation afin d’élargir la dimension de lutte contre le terrorisme dans la région.
« La lutte contre le terrorisme prend maintenant une autre forme, c’est-à-dire la lutte à la racine. Avant que l’apprenti terroriste commette plus tard l’acte, il faut déjà détecter qu’il a les signes et procéder à une dé-radicalisation avant qu’il n’atteigne l’acte », a expliqué le Directeur des renseignements généraux, Col major Touré Seydou, à la session de formation, mardi, à la salle des réunions de la direction régionale du Conseil Café Cacao.
Les participants ont été instruits sur les signes de la radicalisation et les techniques de dé radicalisation. Ce nouvel aspect de la lutte contre le terrorisme est dans l’anticipation, donc « le contre-terrorisme qui consiste à prévenir », a-t-on précisé. Il est question d’aller au-delà de « l’anti-terrorisme », qui s’attaque au criminel seulement quand il a commis l’acte ou est en train de le commettre.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du lancement d’un outil appelé la « mallette pédagogique ». Selon Touré Seydou, elle vise à aider, dans toutes les régions du pays, les forces de défenses et de sécurité, les services de renseignements, dans la détection des indices de radicalisation.
La société civile, sur l’ensemble du territoire national, va bientôt bénéficier de cette formation, afin qu’elle aide les services de renseignements et les forces de défense et de sécurité dans la détection des indices de radicalisation, a-t-on appris.
De nombreux prédicateurs religieux, constate-t-on, viennent en Côte d’Ivoire faire « la dawa » et enseignent aux fidèles, souvent assez jeunes. « Mais, derrière cet enseignement se cachent généralement des ambitions inavouées qu’on ne peut tout de suite voir », note Colonel major, Touré Seydou, sauf, poursuit-il, à travers certains changements de comportements des auditeurs de ces prédicateurs, laissant transparaître des indices de radicalisation qui préparent au terrorisme.
jmk/fmo
« La lutte contre le terrorisme prend maintenant une autre forme, c’est-à-dire la lutte à la racine. Avant que l’apprenti terroriste commette plus tard l’acte, il faut déjà détecter qu’il a les signes et procéder à une dé-radicalisation avant qu’il n’atteigne l’acte », a expliqué le Directeur des renseignements généraux, Col major Touré Seydou, à la session de formation, mardi, à la salle des réunions de la direction régionale du Conseil Café Cacao.
Les participants ont été instruits sur les signes de la radicalisation et les techniques de dé radicalisation. Ce nouvel aspect de la lutte contre le terrorisme est dans l’anticipation, donc « le contre-terrorisme qui consiste à prévenir », a-t-on précisé. Il est question d’aller au-delà de « l’anti-terrorisme », qui s’attaque au criminel seulement quand il a commis l’acte ou est en train de le commettre.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du lancement d’un outil appelé la « mallette pédagogique ». Selon Touré Seydou, elle vise à aider, dans toutes les régions du pays, les forces de défenses et de sécurité, les services de renseignements, dans la détection des indices de radicalisation.
La société civile, sur l’ensemble du territoire national, va bientôt bénéficier de cette formation, afin qu’elle aide les services de renseignements et les forces de défense et de sécurité dans la détection des indices de radicalisation, a-t-on appris.
De nombreux prédicateurs religieux, constate-t-on, viennent en Côte d’Ivoire faire « la dawa » et enseignent aux fidèles, souvent assez jeunes. « Mais, derrière cet enseignement se cachent généralement des ambitions inavouées qu’on ne peut tout de suite voir », note Colonel major, Touré Seydou, sauf, poursuit-il, à travers certains changements de comportements des auditeurs de ces prédicateurs, laissant transparaître des indices de radicalisation qui préparent au terrorisme.
jmk/fmo