Une délégation du ministère ivoirien de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la pauvreté a séjourné mercredi à Divo, dès l’annonce de l’incendie ayant fait huit morts au quartier Konankro-Château.
« Madame la ministre (Mariatou Koné, ndlr) qui est en dehors du pays a souhaité que rapidement une délégation vienne se tenir aux côtés de la famille et aux côtés des autorités pour leur exprimer le soutien de l’Etat, la compassion de toute la nation», a indiqué le porte-parole de la délégation, Coulibaly Tiozon.
« Tout l’Etat est avec la famille éplorée même si nous ne pouvons que nous soumettre à la volonté divine », a ajouté M.Coulibaly.
En l’absence de la veuve et devant l’inexistence de survivants, les envoyés de la ministre de la Solidarité ont rencontré la communauté d’origine du défunt chef de famille, les Bétés de Daloa.
« Nous sommes touchés par ce drame et surtout par la promptitude avec laquelle l’Etat est à nos côtés. On se perd en conjectures et on veut vraiment savoir ce qui s’est passé », a déclaré le chargé de communication de l’Association des ressortissants Bété de Daloa résidents à Divo, Gbozé Maxime.
Dans la nuit de mardi à mercredi, toute une famille, excepté la mère, a été prise au piège des flammes dont l’origine reste pour le moment inconnue au quartier Konankro-Chateau. Tous ont péri dans le feu en dépit des secours improvisés par les jeunes du quartier.
(AIP)
gso/cmas
« Madame la ministre (Mariatou Koné, ndlr) qui est en dehors du pays a souhaité que rapidement une délégation vienne se tenir aux côtés de la famille et aux côtés des autorités pour leur exprimer le soutien de l’Etat, la compassion de toute la nation», a indiqué le porte-parole de la délégation, Coulibaly Tiozon.
« Tout l’Etat est avec la famille éplorée même si nous ne pouvons que nous soumettre à la volonté divine », a ajouté M.Coulibaly.
En l’absence de la veuve et devant l’inexistence de survivants, les envoyés de la ministre de la Solidarité ont rencontré la communauté d’origine du défunt chef de famille, les Bétés de Daloa.
« Nous sommes touchés par ce drame et surtout par la promptitude avec laquelle l’Etat est à nos côtés. On se perd en conjectures et on veut vraiment savoir ce qui s’est passé », a déclaré le chargé de communication de l’Association des ressortissants Bété de Daloa résidents à Divo, Gbozé Maxime.
Dans la nuit de mardi à mercredi, toute une famille, excepté la mère, a été prise au piège des flammes dont l’origine reste pour le moment inconnue au quartier Konankro-Chateau. Tous ont péri dans le feu en dépit des secours improvisés par les jeunes du quartier.
(AIP)
gso/cmas