Abidjan- Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a appelé lundi les Etats à faire davantage pour lutter contre la corruption dans le cadre des efforts pour maintenir la paix et la sécurité internationale, lors d’une réunion du Conseil de sécurité consacrée à cette question.
« Nous devons tous faire davantage pour lutter contre la corruption, renforcer la gouvernance et mettre en place des institutions fiables qui garantissent la probité et le progrès pour tous », a déclaré M. Guterres devant les membres du Conseil.
Selon un communiqué de presse, M. Guterres, citant les chiffres du Forum économique mondial, a rappelé que le coût de la corruption est d’au moins 2.600 milliards de dollars, soit 5% du produit intérieur brut mondial.
« La corruption est liée à de nombreuses formes d’instabilité et de violence, telles que le trafic illicite d’armes, de drogues et de personnes. Les liens entre corruption, terrorisme et extrémisme violent ont été maintes fois reconnus par le Conseil de sécurité et l’Assemblée générale », a noté M. Guterres.
Des enquêtes menées par l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) ont révélé que la corruption de fonctionnaires était particulièrement forte dans les zones touchées par les conflits.
S’agissant de la Convention des Nations Unies contre la corruption, qui compte désormais 186 Etats parties après quinze ans d’existence, le Secrétaire général a encouragé tous les États membres à afficher « une plus grande détermination pour assurer sa mise en œuvre ».
kam
« Nous devons tous faire davantage pour lutter contre la corruption, renforcer la gouvernance et mettre en place des institutions fiables qui garantissent la probité et le progrès pour tous », a déclaré M. Guterres devant les membres du Conseil.
Selon un communiqué de presse, M. Guterres, citant les chiffres du Forum économique mondial, a rappelé que le coût de la corruption est d’au moins 2.600 milliards de dollars, soit 5% du produit intérieur brut mondial.
« La corruption est liée à de nombreuses formes d’instabilité et de violence, telles que le trafic illicite d’armes, de drogues et de personnes. Les liens entre corruption, terrorisme et extrémisme violent ont été maintes fois reconnus par le Conseil de sécurité et l’Assemblée générale », a noté M. Guterres.
Des enquêtes menées par l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) ont révélé que la corruption de fonctionnaires était particulièrement forte dans les zones touchées par les conflits.
S’agissant de la Convention des Nations Unies contre la corruption, qui compte désormais 186 Etats parties après quinze ans d’existence, le Secrétaire général a encouragé tous les États membres à afficher « une plus grande détermination pour assurer sa mise en œuvre ».
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