La Caisse nationale de prévoyance sociale de Côte d'Ivoire (CNPS) organise mercredi et jeudi à Abidjan, un atelier national sur la couverture sociale des travailleurs salariés du secteur des transports routiers à Abidjan.
Il s’agit au cours de ces deux jours de réflexion d’identifier de manière pertinente et exhaustive les difficultés bloquant l’identification et l’immatriculation des populations concernées dans le but de leur garantir une couverture sociale.
Selon le directeur général de la CNPS, Denis Charles Kouassi, le secteur des transports qui représente 800 mille travailleurs salariés, le secteur routier au delà du danger sécuritaire, se caractérise par une forte pénibilité au travail et un fort taux d’accident.
Dès lors, des réponses urgentes et vigoureuses méritent d’être apportées à cet état de fait qui est source de précarité et d’exclusion sociale.
«Au cours de cet atelier, nous avons invité deux pays frère le Burkina et le Niger qui ont une très grande expérience dans la prise en charge des travailleurs du secteur du transport en matière de sécurité sociale », a précisé le DG de la CNPS.
Durant les travaux, plusieurs sous-thèmes seront développés par les experts à savoir les enjeux de la protection sociale, les mécanismes de protection sociale des travailleurs du secteur d’un transport routier, les réformes du ministère des transports en matière de protection sociale, la protection sociale des travailleurs salariés du transport : un besoin à combler et la contribution du patronat pour une protection sociale adaptée aux réalités du secteur du transport.
M. Kouassi a souhaité que sorte de cet atelier la quintessence d’une véritable dynamique de la protection sociale.
Au nom du ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, son Conseiller technique, Agui Amoifon, a reconnu que le secteur du transport constitue un maillon faible et pourtant, il emploi une main d’œuvre importante.
Pour lui, la couverture sociale reste concentrée sur le secteur moderne, c’est à dire les entreprises constituées et la fonctionnaire qui représente 10%.
«Il faut que le système de couverture devient inclusif», a souligné M. Agui avant de souhaiter que les travaux de l’atelier aboutissent à des résolutions satisfaits.
(AIP)
bsp/tm
Il s’agit au cours de ces deux jours de réflexion d’identifier de manière pertinente et exhaustive les difficultés bloquant l’identification et l’immatriculation des populations concernées dans le but de leur garantir une couverture sociale.
Selon le directeur général de la CNPS, Denis Charles Kouassi, le secteur des transports qui représente 800 mille travailleurs salariés, le secteur routier au delà du danger sécuritaire, se caractérise par une forte pénibilité au travail et un fort taux d’accident.
Dès lors, des réponses urgentes et vigoureuses méritent d’être apportées à cet état de fait qui est source de précarité et d’exclusion sociale.
«Au cours de cet atelier, nous avons invité deux pays frère le Burkina et le Niger qui ont une très grande expérience dans la prise en charge des travailleurs du secteur du transport en matière de sécurité sociale », a précisé le DG de la CNPS.
Durant les travaux, plusieurs sous-thèmes seront développés par les experts à savoir les enjeux de la protection sociale, les mécanismes de protection sociale des travailleurs du secteur d’un transport routier, les réformes du ministère des transports en matière de protection sociale, la protection sociale des travailleurs salariés du transport : un besoin à combler et la contribution du patronat pour une protection sociale adaptée aux réalités du secteur du transport.
M. Kouassi a souhaité que sorte de cet atelier la quintessence d’une véritable dynamique de la protection sociale.
Au nom du ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, son Conseiller technique, Agui Amoifon, a reconnu que le secteur du transport constitue un maillon faible et pourtant, il emploi une main d’œuvre importante.
Pour lui, la couverture sociale reste concentrée sur le secteur moderne, c’est à dire les entreprises constituées et la fonctionnaire qui représente 10%.
«Il faut que le système de couverture devient inclusif», a souligné M. Agui avant de souhaiter que les travaux de l’atelier aboutissent à des résolutions satisfaits.
(AIP)
bsp/tm