Les académies du management ou Cgeci Academy 2018 se tiennent les 25 et 26 octobre à Sofitel Hôtel Ivoire. Autour du thème central : « Cap sur l’Industrialisation, un défi pour tous », ces assises planchent entre autres sur la thématique : ‘’Croissance durable et inclusive’’. Solibra y est pour dévoiler les piliers d’un ‘’succès’’ solide de 63 bonnes années déjà.
L’académie c’est surtout l’échange d’expériences et ceux-ci porteront aussi sur la triade ‘’Croissance durable et inclusive’’. Pour ceux qui veulent bien comprendre, sans forcément recourir aux grandes théories, on parle de ‘’croissance, durable et inclusive’’ dans un pays lorsque les revenus de la production sont réinvestis pour justement soutenir ladite économie au bénéfice des populations.
En Côte d’Ivoire, la logique veut que les devises tirées de la vente du cacao par exemple, servent à investir dans la recherche agricole et ses intrants en vue de rendre cette matière première compétitive. Dans le même temps, il faudrait que dans la clé de répartition, les composantes de la société à savoir les jeunes, les femmes, l’informel, l’éducation, la santé… ne soient pas lésées ; alors on dira que cette économie est inclusive. Et elle devient durable lorsque les mécanismes mis en place lui permettre de perdurer.
A une échelle réduite c’est-à-dire en ramenant au secteur privé, le cas Solibra pourrait servir d’exemple d’illustration à cette dynamique. A commencer par sa forme matricielle. La Société de Limonaderies et de Brasserie, propriété du groupe Castel est doté en effet de plusieurs unités de production. Il est tout de même question de onze (11) marques de bière, de deux (2) d’eau minérale (Awa et Cristaline) sans compter les nombreuses de Soda (Coca-cola, Fanta…) et de boissons gazeuses. En gros, ce sont plus de 20 marques et 100 références de produits qui animent la vie des Ivoiriens depuis les années indépendances.
La croissance est effectivement une réalité. Du fait qu’à y voir de plus près, à mesure qu’on avance les consommateurs ivoiriens notent que la production s’accroit du côté de Solibra. Car depuis lors, la société manie habilement le principe de l’offre et de la demande pour satisfaire des millions de consommateurs à travers le pays voir au-delà : « notre crédo, c’est la satisfaction de nos consommateurs. » Justifie un autre décideur de la maison.
Parvenir au durable requiert des investissements consistants. D’abord dans la technologie. A ce niveau, Solibra a dû injecter cent cinquante (150) milliards de Fcfa sur les quatre (4) dernières années pour « garder son outil de production à la pointe de la technologie.» Nous a confié récemment, Mme Marie-Danielle Ogou, Chef du Département Communication. Ensuite ce renouvellement du capital matériel s’est fait concomitamment avec celui du capital humain.On n’est pas peu fier de constater que la jeunesse a ‘’pris le pouvoir’’ carrément de ce côté-là. Un tour dans ses locaux vous séduira certainement.
De fait, la politique managériale fait un point d’honneur au renforcement des capacités. A l’heure du bilan, une seule évidence : la rentabilité, la maîtrise du marché, la satisfaction du consommateur et surtout l’innovation en continue, de Août à septembre, la société a lancé une application mobile SoCity et un nouveau format de Bock en bouteille jetable de la 25cl.
Et on peut le dire, la croissance constatée chez le leader de la brasserie en Côte d’Ivoire a également la particularité d’être inclusive. Solibra est en fait le moteur d’un écosystème qui réunit les entreprises ivoiriennes spécialisées dans le transport, la logistique, la production d’étiquette, de capsule et plusieurs autres sous-traitants.
Un autre grand bénéficiaire des investissements de Solibra, le monde agricole ivoirien. Plusieurs milliards de F Cfa y sont orientés chaque année. De l’exemple de la Pme, Protein Kissie qui selon nos sources fournit près de 30% du Gritz de Maïs provenant du monde paysan ivoirien, à la filière canne à sucre en passant par d’autres filières intervenant dans la fourniture d’intrants de production au brasseur. Subséquemment Solibra est bien un cas d’école à étudier par les investisseurs ivoiriens et étrangers à la recherche des terres d’opportunités comme la Côte d’Ivoire. Au cumul de toute cette riche expérience, la société créée par Pierre Castel est un maillon essentiel et inspirant de l’industrialisation ivoirienne.
Marius Aka Fils
L’académie c’est surtout l’échange d’expériences et ceux-ci porteront aussi sur la triade ‘’Croissance durable et inclusive’’. Pour ceux qui veulent bien comprendre, sans forcément recourir aux grandes théories, on parle de ‘’croissance, durable et inclusive’’ dans un pays lorsque les revenus de la production sont réinvestis pour justement soutenir ladite économie au bénéfice des populations.
En Côte d’Ivoire, la logique veut que les devises tirées de la vente du cacao par exemple, servent à investir dans la recherche agricole et ses intrants en vue de rendre cette matière première compétitive. Dans le même temps, il faudrait que dans la clé de répartition, les composantes de la société à savoir les jeunes, les femmes, l’informel, l’éducation, la santé… ne soient pas lésées ; alors on dira que cette économie est inclusive. Et elle devient durable lorsque les mécanismes mis en place lui permettre de perdurer.
A une échelle réduite c’est-à-dire en ramenant au secteur privé, le cas Solibra pourrait servir d’exemple d’illustration à cette dynamique. A commencer par sa forme matricielle. La Société de Limonaderies et de Brasserie, propriété du groupe Castel est doté en effet de plusieurs unités de production. Il est tout de même question de onze (11) marques de bière, de deux (2) d’eau minérale (Awa et Cristaline) sans compter les nombreuses de Soda (Coca-cola, Fanta…) et de boissons gazeuses. En gros, ce sont plus de 20 marques et 100 références de produits qui animent la vie des Ivoiriens depuis les années indépendances.
La croissance est effectivement une réalité. Du fait qu’à y voir de plus près, à mesure qu’on avance les consommateurs ivoiriens notent que la production s’accroit du côté de Solibra. Car depuis lors, la société manie habilement le principe de l’offre et de la demande pour satisfaire des millions de consommateurs à travers le pays voir au-delà : « notre crédo, c’est la satisfaction de nos consommateurs. » Justifie un autre décideur de la maison.
Parvenir au durable requiert des investissements consistants. D’abord dans la technologie. A ce niveau, Solibra a dû injecter cent cinquante (150) milliards de Fcfa sur les quatre (4) dernières années pour « garder son outil de production à la pointe de la technologie.» Nous a confié récemment, Mme Marie-Danielle Ogou, Chef du Département Communication. Ensuite ce renouvellement du capital matériel s’est fait concomitamment avec celui du capital humain.On n’est pas peu fier de constater que la jeunesse a ‘’pris le pouvoir’’ carrément de ce côté-là. Un tour dans ses locaux vous séduira certainement.
De fait, la politique managériale fait un point d’honneur au renforcement des capacités. A l’heure du bilan, une seule évidence : la rentabilité, la maîtrise du marché, la satisfaction du consommateur et surtout l’innovation en continue, de Août à septembre, la société a lancé une application mobile SoCity et un nouveau format de Bock en bouteille jetable de la 25cl.
Et on peut le dire, la croissance constatée chez le leader de la brasserie en Côte d’Ivoire a également la particularité d’être inclusive. Solibra est en fait le moteur d’un écosystème qui réunit les entreprises ivoiriennes spécialisées dans le transport, la logistique, la production d’étiquette, de capsule et plusieurs autres sous-traitants.
Un autre grand bénéficiaire des investissements de Solibra, le monde agricole ivoirien. Plusieurs milliards de F Cfa y sont orientés chaque année. De l’exemple de la Pme, Protein Kissie qui selon nos sources fournit près de 30% du Gritz de Maïs provenant du monde paysan ivoirien, à la filière canne à sucre en passant par d’autres filières intervenant dans la fourniture d’intrants de production au brasseur. Subséquemment Solibra est bien un cas d’école à étudier par les investisseurs ivoiriens et étrangers à la recherche des terres d’opportunités comme la Côte d’Ivoire. Au cumul de toute cette riche expérience, la société créée par Pierre Castel est un maillon essentiel et inspirant de l’industrialisation ivoirienne.
Marius Aka Fils