Un atelier sur le rôle des marchés des marchés des capitaux dans le processus d’intégration économique et financière dans l’espace CEDEAO a été organisé le jeudi 27 septembre 2018, au siège de la CEDEAO (Abidjan), par le Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur (MIAIE) via la Direction générale de l’intégration africaine (DGIA), en collaboration avec la BRVM (Bourse régionale de valeurs mobilières) et la CEDEAO.
Cet atelier a eu pour objectif de faire un état des lieux du processus d’intégration financière et exposer les contributions des places boursières de la région ouest africaine dans l’atteinte de cette intégration financière. La cérémonie d’ouverture a été présidée par M. Yao Kouamé, Conseiller Technique, représentant le Directeur de cabinet du MIAIE, qui avait à ses côtés Mme Lilian Torella, représentante de l’ambassadeur résident de la CEDEAO et de M. Serges Daniel Djizolé, Directeur de la Conformité de la règlementation et affaires juridiques de la BRVM.
En effet, devant la disparité des systèmes financiers dans la région Afrique de l’ouest, les autorités de l’UEMOA et de la CEDEAO ne cessent de conjuguer leurs efforts pour une bonne intégration financière aux fins d’assurer la meilleure homogénéité possible des systèmes financiers entre les pays de la zone. Pour faciliter l’application des politiques monétaires et financières régionales et surtout accroitre partout la croissance économique et son caractère inclusif pour tous les agents économiques.
Cependant, l’atteinte de cette intégration financière n’est pas une chose aisée. La région Afrique de l’ouest est constituée de plusieurs places financières et boursières qui fonctionnent avec des monnaies différentes. Il est noté l’existence de cinq (5) Bourses de valeurs dans la CEDEAO, à savoir la Bourse régionale de valeurs mobilières (BRVM) qui fonctionne avec le CFA, le Ghana stock exchange (GSE) qui fonctionne avec le CEDI, le Nigeria Stock exchange (NGSE) dont la monnaie est le NAIRA, la Bourse des valeurs du Cap Vert et la Bourse de la Sierra Léone. Il se pose alors la question de savoir comment procéder afin d’aboutir à une intégration financière optimale ? Et quelle peut être la contribution de toutes les parties prenantes et en particulier des différentes places boursières de la région ?
Cet atelier a permis donc d’examiner les difficultés inhérentes à l’intégration financière ouest africaine, de mettre en évidence l’importance d’une intégration financière CEDEAO dans la croissance économique. Il a été également question de montrer le rôle des places boursières dans la zone CEDEAO dans l’intégration financière, et de montrer le rôle des organes de régulations boursières de la zone CEDEAO dans l’intégration financière.
Ces réflexions se sont déroulées autour de trois présentations suivies d’échanges relatives aux point suivants : un état des lieux de l’intégration financière en Afrique de l’ouest (la BRVM) ; le rôle d’une place boursière dans l’intégration financière : état des lieux des places boursières de la région et le projet de mise en place d’une plate-forme boursière commune en Afrique de l’ouest (BRVM, NGSE, GSE) ; le rôle des organes de régulations dans l’intégration financière ( Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers (CREPMF).
JOB
Cet atelier a eu pour objectif de faire un état des lieux du processus d’intégration financière et exposer les contributions des places boursières de la région ouest africaine dans l’atteinte de cette intégration financière. La cérémonie d’ouverture a été présidée par M. Yao Kouamé, Conseiller Technique, représentant le Directeur de cabinet du MIAIE, qui avait à ses côtés Mme Lilian Torella, représentante de l’ambassadeur résident de la CEDEAO et de M. Serges Daniel Djizolé, Directeur de la Conformité de la règlementation et affaires juridiques de la BRVM.
En effet, devant la disparité des systèmes financiers dans la région Afrique de l’ouest, les autorités de l’UEMOA et de la CEDEAO ne cessent de conjuguer leurs efforts pour une bonne intégration financière aux fins d’assurer la meilleure homogénéité possible des systèmes financiers entre les pays de la zone. Pour faciliter l’application des politiques monétaires et financières régionales et surtout accroitre partout la croissance économique et son caractère inclusif pour tous les agents économiques.
Cependant, l’atteinte de cette intégration financière n’est pas une chose aisée. La région Afrique de l’ouest est constituée de plusieurs places financières et boursières qui fonctionnent avec des monnaies différentes. Il est noté l’existence de cinq (5) Bourses de valeurs dans la CEDEAO, à savoir la Bourse régionale de valeurs mobilières (BRVM) qui fonctionne avec le CFA, le Ghana stock exchange (GSE) qui fonctionne avec le CEDI, le Nigeria Stock exchange (NGSE) dont la monnaie est le NAIRA, la Bourse des valeurs du Cap Vert et la Bourse de la Sierra Léone. Il se pose alors la question de savoir comment procéder afin d’aboutir à une intégration financière optimale ? Et quelle peut être la contribution de toutes les parties prenantes et en particulier des différentes places boursières de la région ?
Cet atelier a permis donc d’examiner les difficultés inhérentes à l’intégration financière ouest africaine, de mettre en évidence l’importance d’une intégration financière CEDEAO dans la croissance économique. Il a été également question de montrer le rôle des places boursières dans la zone CEDEAO dans l’intégration financière, et de montrer le rôle des organes de régulations boursières de la zone CEDEAO dans l’intégration financière.
Ces réflexions se sont déroulées autour de trois présentations suivies d’échanges relatives aux point suivants : un état des lieux de l’intégration financière en Afrique de l’ouest (la BRVM) ; le rôle d’une place boursière dans l’intégration financière : état des lieux des places boursières de la région et le projet de mise en place d’une plate-forme boursière commune en Afrique de l’ouest (BRVM, NGSE, GSE) ; le rôle des organes de régulations dans l’intégration financière ( Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers (CREPMF).
JOB