Abidjan - A l’occasion de la Journée internationale de la fille, célébrée le 11 octobre, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a appelé à vaincre les obstacles qui empêchent des centaines de millions d’adolescentes à travers le monde de réaliser leur potentiel.
« Toutefois, bien trop souvent, les filles n’ont pas le loisir ou la possibilité de libérer tout leur potentiel. La discrimination systématique, les préjugés et l’absence de formation sont autant de barrières qui se dressent devant elles », a noté M. Guterres dans un message.
« Nous devons agir ensemble pour vaincre les obstacles qui font que, à l’échelle mondiale, les femmes représentent moins de 30% des diplômés des filières informatique et communication et occupent moins de 30% des emplois dans le domaine de la recherche-développement, par exemple », a-t-il ajouté.
Selon le chef de l’ONU, les stéréotypes sexistes qui pèsent sur l’éducation des filles dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques prennent racine dès l’école primaire et ont pour effet dévastateur de faire douter les filles de leur potentiel.
Bien que le nombre de filles scolarisées soit plus élevé que jamais, nombre d’entre elles n’acquièrent toujours pas les compétences dont elles ont besoin pour réussir dans la vie.
« En cette Journée internationale de la fille, engageons-nous de nouveau à aider chaque fille à développer ses compétences, à entrer dans le monde du travail sur un pied d’égalité et à exploiter tout son potentiel », a-t-il conclu.
(AIP)
kam
« Toutefois, bien trop souvent, les filles n’ont pas le loisir ou la possibilité de libérer tout leur potentiel. La discrimination systématique, les préjugés et l’absence de formation sont autant de barrières qui se dressent devant elles », a noté M. Guterres dans un message.
« Nous devons agir ensemble pour vaincre les obstacles qui font que, à l’échelle mondiale, les femmes représentent moins de 30% des diplômés des filières informatique et communication et occupent moins de 30% des emplois dans le domaine de la recherche-développement, par exemple », a-t-il ajouté.
Selon le chef de l’ONU, les stéréotypes sexistes qui pèsent sur l’éducation des filles dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques prennent racine dès l’école primaire et ont pour effet dévastateur de faire douter les filles de leur potentiel.
Bien que le nombre de filles scolarisées soit plus élevé que jamais, nombre d’entre elles n’acquièrent toujours pas les compétences dont elles ont besoin pour réussir dans la vie.
« En cette Journée internationale de la fille, engageons-nous de nouveau à aider chaque fille à développer ses compétences, à entrer dans le monde du travail sur un pied d’égalité et à exploiter tout son potentiel », a-t-il conclu.
(AIP)
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