APA - La police ivoirienne a mis le grappin, mercredi à Abidjan, sur « un grand escroc dans la vente des terrains fictifs et faux agent immobilier» qui a déjà perçu de ses victimes des cautions de maison qui s'élèvent à plus de 16.000.000 FCFA, a appris APA de source sécuritaire.
«Ce matin, le commissaire Tiégnon du 34è arrondissement d'Abobo ( Nord d'Abidjan) et ses hommes, ont mis le grappin sur un grand escroc du nom de Kita Ismaël alias le maire se présentant tantôt comme le propriétaire de plusieurs habitations, tantôt comme un agent immobilier » explique la police ivoirienne dans une note d'information.
Selon cette note, près de 67 victimes ont porté plainte contre « l'arnaqueur» au parquet, dans les services de gendarmerie et de police. « Les Cautions des maisons perçues par lui et ses acolytes dont certains avaient déjà été déférés par le 34è arrondissement, s'élèvent à plus de 16 millions FCFA», précise cette note.
La police ivoirienne avait également interpellé dans la capitale économique ivoirienne plusieurs semaines auparavant, un autre escroc nommé Abdoulaye Bah spécialisé dans la vente de « faux terrains» dont le préjudice est évalué à près de 111 millions FCFA, rappelle la note.
LB/ls/APA
«Ce matin, le commissaire Tiégnon du 34è arrondissement d'Abobo ( Nord d'Abidjan) et ses hommes, ont mis le grappin sur un grand escroc du nom de Kita Ismaël alias le maire se présentant tantôt comme le propriétaire de plusieurs habitations, tantôt comme un agent immobilier » explique la police ivoirienne dans une note d'information.
Selon cette note, près de 67 victimes ont porté plainte contre « l'arnaqueur» au parquet, dans les services de gendarmerie et de police. « Les Cautions des maisons perçues par lui et ses acolytes dont certains avaient déjà été déférés par le 34è arrondissement, s'élèvent à plus de 16 millions FCFA», précise cette note.
La police ivoirienne avait également interpellé dans la capitale économique ivoirienne plusieurs semaines auparavant, un autre escroc nommé Abdoulaye Bah spécialisé dans la vente de « faux terrains» dont le préjudice est évalué à près de 111 millions FCFA, rappelle la note.
LB/ls/APA