Le premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, a salué les performances réalisées ces dernières années par l’Afrique à l’occasion de la cérémonie d’ouverture, vendredi, de la "World Policy Conference" qui se tient à Rabat.
« L’Afrique, au cours des deux dernières décennies, a fait des progrès remarquables dans de nombreux domaines », a déclaré Amadou Gon Coulibaly, selon un communiqué de la Primature transmis, à l’AIP.
Il a relevé qu’au niveau économique, la croissance annuelle africaine est restée, à l’exception de l’année 2016, au-dessus de la moyenne mondiale, à plus de 4,5%, avec des taux se situant entre 7% et 10% pour certains pays.
Au plan social, il s’est dit satisfait du recul de l’extrême pauvreté, dont le taux en Afrique est passé de 57% en 1990 à 43% en 2012, puis à 35% en 2015.
Le premier ministre ivoirien a enfin loué les avancées démocratiques sur le continent. « Au niveau politique, la démocratie et les libertés individuelles se sont renforcées, avec une baisse significative du nombre de conflits », a-t-il dit.
Ce tableau montre cependant certaines faiblesses auxquelles les dirigeants africains doivent remédier, afin de poursuivre la dynamique de croissance actuelle.
« L’Afrique dispose de bases fondamentales solides pour devenir un pilier de la croissance et de la prospérité mondiale », a-t-il conclu.
La "World Policy Conference" qui se tient du 26 au 28 octobre a pour thème : « Forces et faiblesses de l’Afrique d’aujourd’hui ».
(AIP)
kkf/ask
« L’Afrique, au cours des deux dernières décennies, a fait des progrès remarquables dans de nombreux domaines », a déclaré Amadou Gon Coulibaly, selon un communiqué de la Primature transmis, à l’AIP.
Il a relevé qu’au niveau économique, la croissance annuelle africaine est restée, à l’exception de l’année 2016, au-dessus de la moyenne mondiale, à plus de 4,5%, avec des taux se situant entre 7% et 10% pour certains pays.
Au plan social, il s’est dit satisfait du recul de l’extrême pauvreté, dont le taux en Afrique est passé de 57% en 1990 à 43% en 2012, puis à 35% en 2015.
Le premier ministre ivoirien a enfin loué les avancées démocratiques sur le continent. « Au niveau politique, la démocratie et les libertés individuelles se sont renforcées, avec une baisse significative du nombre de conflits », a-t-il dit.
Ce tableau montre cependant certaines faiblesses auxquelles les dirigeants africains doivent remédier, afin de poursuivre la dynamique de croissance actuelle.
« L’Afrique dispose de bases fondamentales solides pour devenir un pilier de la croissance et de la prospérité mondiale », a-t-il conclu.
La "World Policy Conference" qui se tient du 26 au 28 octobre a pour thème : « Forces et faiblesses de l’Afrique d’aujourd’hui ».
(AIP)
kkf/ask