La troisième édition du festival culturel « Adayé Kessié », marquant la fin des fêtes de l’igname dans le royaume Bron a été lancée le samedi 3 novembre à Tabagne dans la région du Gontougo en présence du vice-président de la République Daniel Kablan Duncan, et de membres du gouvernement, dont le ministre des Ressources animales et halieutiques Kobenan Kouassi Adjoumani, fils de la région.
Le vice-président a salué la tenue du festival. « À la faveur de l’Adayé Kessié, les barrières sociales, tout comme les frontières, disparaissent pour laisser la place à l’amitié, à la communion fraternelle, au sentiment d’appartenir à une seule et même famille », a-t-il dit en présence du roi des Bron, Nanan Adingra Kouassi Adjoumane. Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani s’est réjoui de la participation du vice-président Daniel Kablan Duncan à ce festival. Pour lui, cela est une grande marque de considération et une preuve que le président de la République se souci de la population de cette cité . « À travers votre présence, c’est le Président de la République lui-même que nous voyons parmi nous. Aussi, voudrais-je vous prier de lui renouveler tous nos sentiments de reconnaissance, pour cette attention soutenue à l’égard du peuple Brong, pour tous les projets de développement initiés dans notre région pour le bonheur de nos populations. En effet, Monsieur le Vice-président, il existe entre le peuple Brong et le Président Alassane Ouattara, un pacte d’amour et de confiance. Le peuple Brong est un peuple de paix et le Président Alassane Ouattara est également un homme de paix, un disciple du Président Félix Houphouët-Boigny. » a-t-il indiqué. À l’endroit de ses parents, il a préconisé de prendre soin de ce leg qu’est l’Adayé Kessiè. « Chers parents du Royaume Brong, l’Adayé Kessiè nous a été laissé en héritage par nos ancêtres. Nous devons donc perpétuer cette tradition afin de ne pas perdre de vue les valeurs qui la fondent, c’est-à-dire : maintenir la flamme de la paix, de la concorde et du vivre ensemble dans ce Royaume. Je voudrais vous inviter à garder jalousement ces valeurs, à ne jamais ouvrir les portes de notre Royaume à la discorde, au désordre, à la violence et à tout ce qui peut mettre en péril la paix et la cohésion sociale. » a-t-il souligné. Il a également fait une adresse aux élus et cadre de la région à qui il demande de regarder de l’avant pour le bien de la population. « Nous pouvons avoir des opinions politiques ou religieuses différentes mais cela ne peut en aucun cas faire de nous des ennemis. Nous devons toujours restés unis, faire bloc autour de la question du développement dans toutes les contrées du Royaume Brong. C’est pourquoi, je voudrais nous inviter à taire nos querelles car, les querelles de personnes ne nous apportent rien, et ne nous apporteront jamais rien. Les élections sont juste, une compétition démocratique qui ne devrait jamais donner lieu à des manifestations violentes. Toutes les contestations peuvent se faire mais dans le strict cadre de la légalité républicaine. Nous ne devons jamais perdre de vue notre fraternité et notre appartenance à ce Royaume. Nous sommes tous descendants des mêmes ancêtres. Endeuiller une famille à cause des élections, c’est causer le deuil à sa propre famille, à son propre Royaume, donc à soi-même. » a-t-il fait comprendre.
T.A.B et EF avec Sercom
Le vice-président a salué la tenue du festival. « À la faveur de l’Adayé Kessié, les barrières sociales, tout comme les frontières, disparaissent pour laisser la place à l’amitié, à la communion fraternelle, au sentiment d’appartenir à une seule et même famille », a-t-il dit en présence du roi des Bron, Nanan Adingra Kouassi Adjoumane. Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani s’est réjoui de la participation du vice-président Daniel Kablan Duncan à ce festival. Pour lui, cela est une grande marque de considération et une preuve que le président de la République se souci de la population de cette cité . « À travers votre présence, c’est le Président de la République lui-même que nous voyons parmi nous. Aussi, voudrais-je vous prier de lui renouveler tous nos sentiments de reconnaissance, pour cette attention soutenue à l’égard du peuple Brong, pour tous les projets de développement initiés dans notre région pour le bonheur de nos populations. En effet, Monsieur le Vice-président, il existe entre le peuple Brong et le Président Alassane Ouattara, un pacte d’amour et de confiance. Le peuple Brong est un peuple de paix et le Président Alassane Ouattara est également un homme de paix, un disciple du Président Félix Houphouët-Boigny. » a-t-il indiqué. À l’endroit de ses parents, il a préconisé de prendre soin de ce leg qu’est l’Adayé Kessiè. « Chers parents du Royaume Brong, l’Adayé Kessiè nous a été laissé en héritage par nos ancêtres. Nous devons donc perpétuer cette tradition afin de ne pas perdre de vue les valeurs qui la fondent, c’est-à-dire : maintenir la flamme de la paix, de la concorde et du vivre ensemble dans ce Royaume. Je voudrais vous inviter à garder jalousement ces valeurs, à ne jamais ouvrir les portes de notre Royaume à la discorde, au désordre, à la violence et à tout ce qui peut mettre en péril la paix et la cohésion sociale. » a-t-il souligné. Il a également fait une adresse aux élus et cadre de la région à qui il demande de regarder de l’avant pour le bien de la population. « Nous pouvons avoir des opinions politiques ou religieuses différentes mais cela ne peut en aucun cas faire de nous des ennemis. Nous devons toujours restés unis, faire bloc autour de la question du développement dans toutes les contrées du Royaume Brong. C’est pourquoi, je voudrais nous inviter à taire nos querelles car, les querelles de personnes ne nous apportent rien, et ne nous apporteront jamais rien. Les élections sont juste, une compétition démocratique qui ne devrait jamais donner lieu à des manifestations violentes. Toutes les contestations peuvent se faire mais dans le strict cadre de la légalité républicaine. Nous ne devons jamais perdre de vue notre fraternité et notre appartenance à ce Royaume. Nous sommes tous descendants des mêmes ancêtres. Endeuiller une famille à cause des élections, c’est causer le deuil à sa propre famille, à son propre Royaume, donc à soi-même. » a-t-il fait comprendre.
T.A.B et EF avec Sercom