Abidjan - Les transporteurs, assureurs et consommateurs ont été sensibilisés, mercredi, à Abidjan, sur le fonctionnement et le principe de la carte brune d’assurance de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Le président du conseil de gestion du bureau national de la carte brune d’assurance CEDEAO, Karim Diarrassouba a expliqué que cette carte a pour but de garantir aux victimes des accidents de la circulation une prompte et équitable indemnisation des dommages qui leur sont causés par les automobilistes non-résidents.
A l’en croire, cette couverture offre les mêmes garanties que celles qui sont exigées par les lois en vigueur sur le territoire de chacun des signataires.
«Pour toute victime issue d’un accident frontalier, il faut saisir le bureau national de la carte brune. Il s’agit pour le bureau d’informer et de sensibiliser les transporteurs, assureurs et consommateurs sur le fonctionnement et l’importance de la carte brune», a-t-il relevé.
Diarrassouba a souligné que le système d’assurance est une nécessité pour tous les usagers, car il vise à faciliter aux automobilistes internationaux une libre circulation dans la Communauté, d’encourager le développement des échanges commerciaux et le tourisme entre les Etats…
Selon lui, lorsqu’une personne souscrit à une police d’assurance de son véhicule, immédiatement aussi bien il paye la valeur de la police à 1000 FCFA pour avoir cette carte.
«C’est une obligation et elle est systématisée. C’est une couverture mixte, nationale et internationale», a détaillé le président du conseil de gestion du bureau national de la carte brune d’assurance CEDEAO.
Karim Diarrassouba a rappelé que depuis le 11 juillet 2016, l’arrêté pris par le ministre de l’Economie et des Finances est venu consacrer la vente systématique de la carte brune et l’indépendance de son bureau national.
Au nom des transporteurs, Largaton Koné a salué cette rencontre d’échange qui a permis à sa corporation de comprendre réellement les opportunités de la carte.
En 2017, un montant de 200 millions a servi à l’indemnisation des victimes en Côte d’Ivoire, révèle-t-on.
(AIP)
bsp/ask
Le président du conseil de gestion du bureau national de la carte brune d’assurance CEDEAO, Karim Diarrassouba a expliqué que cette carte a pour but de garantir aux victimes des accidents de la circulation une prompte et équitable indemnisation des dommages qui leur sont causés par les automobilistes non-résidents.
A l’en croire, cette couverture offre les mêmes garanties que celles qui sont exigées par les lois en vigueur sur le territoire de chacun des signataires.
«Pour toute victime issue d’un accident frontalier, il faut saisir le bureau national de la carte brune. Il s’agit pour le bureau d’informer et de sensibiliser les transporteurs, assureurs et consommateurs sur le fonctionnement et l’importance de la carte brune», a-t-il relevé.
Diarrassouba a souligné que le système d’assurance est une nécessité pour tous les usagers, car il vise à faciliter aux automobilistes internationaux une libre circulation dans la Communauté, d’encourager le développement des échanges commerciaux et le tourisme entre les Etats…
Selon lui, lorsqu’une personne souscrit à une police d’assurance de son véhicule, immédiatement aussi bien il paye la valeur de la police à 1000 FCFA pour avoir cette carte.
«C’est une obligation et elle est systématisée. C’est une couverture mixte, nationale et internationale», a détaillé le président du conseil de gestion du bureau national de la carte brune d’assurance CEDEAO.
Karim Diarrassouba a rappelé que depuis le 11 juillet 2016, l’arrêté pris par le ministre de l’Economie et des Finances est venu consacrer la vente systématique de la carte brune et l’indépendance de son bureau national.
Au nom des transporteurs, Largaton Koné a salué cette rencontre d’échange qui a permis à sa corporation de comprendre réellement les opportunités de la carte.
En 2017, un montant de 200 millions a servi à l’indemnisation des victimes en Côte d’Ivoire, révèle-t-on.
(AIP)
bsp/ask