Certains immigrants vivent en Europe dans des jardins publics, selon le président de l’Association des sympathisants solidaires des Ivoiriens de la diaspora (ASSID-France), Bamba Vakaba.
« Certains vient dans des jardins publics, ils n’ont pas d’endroit où aller. Avec l’hiver qui s’annonce et son corollaire de froid, il faut craindre pour leur vie », déplore Bamba Vakaba, dans une interview parue vendredi, dans le quotidien ivoirien Soir Info.
Pour Bamba Vakaba, l’immigration irrégulière tire son origine de l’envie qui pousse les nouvelles générations à l’aventure. La pauvreté et son corollaire participent à la résurgence de fléau, a déclaré le président d'Assid France. « Nombre d’entre eux sont fascinés par le clinquant que certains affichent dans les réseaux sociaux (…) sans savoir par ou nous sommes passés pour en arriver là », a-t-il fustigé.
Bamba Vakaba se dit choqué par cette nouvelle vague de jeunes incontrôlés et incontrôlables qui arrivent le plus souvent sans qualification, ni papier. Or en Occident, pour avoir un accès à l’emploi, il faut être régularisé, a-t-il indiqué. Cette situation indigeste pousse ces immigrants à exercer des boulots précaires. « Sans logis et sans papier, ils sont livrés à eux-mêmes », a-t-il déploré.
Il a souligné toutefois que les femmes avec enfants et les mineurs bénéficient d’une assistance de la part des associations.
C’est ce drame humain que son association tente de circonscrire en France. A son actif, ce sont 82 Ivoiriens qui étaient dans des conditions peu enviables qui ont obtenu un emploi décent. « De 2005 à 2018, nous avons vu passer sous notre toit, plus de 1000 personnes », s’est-t-il réjoui.
Assid France s'active en France à protéger ces jeunes conte les proxénètes, contre la tentation de la drogue et du djihadisme.
La campagne qu'elle poursuit « contre l’envie d’aller se jeter dans la méditerranée », selon Bamba Vakaba, lui a permis de nouer des partenariats en Côte d'Ivoire, avec la direction générale des Ivoiriens de l’extérieur, la fondation Friedrich
« Certains vient dans des jardins publics, ils n’ont pas d’endroit où aller. Avec l’hiver qui s’annonce et son corollaire de froid, il faut craindre pour leur vie », déplore Bamba Vakaba, dans une interview parue vendredi, dans le quotidien ivoirien Soir Info.
Pour Bamba Vakaba, l’immigration irrégulière tire son origine de l’envie qui pousse les nouvelles générations à l’aventure. La pauvreté et son corollaire participent à la résurgence de fléau, a déclaré le président d'Assid France. « Nombre d’entre eux sont fascinés par le clinquant que certains affichent dans les réseaux sociaux (…) sans savoir par ou nous sommes passés pour en arriver là », a-t-il fustigé.
Bamba Vakaba se dit choqué par cette nouvelle vague de jeunes incontrôlés et incontrôlables qui arrivent le plus souvent sans qualification, ni papier. Or en Occident, pour avoir un accès à l’emploi, il faut être régularisé, a-t-il indiqué. Cette situation indigeste pousse ces immigrants à exercer des boulots précaires. « Sans logis et sans papier, ils sont livrés à eux-mêmes », a-t-il déploré.
Il a souligné toutefois que les femmes avec enfants et les mineurs bénéficient d’une assistance de la part des associations.
C’est ce drame humain que son association tente de circonscrire en France. A son actif, ce sont 82 Ivoiriens qui étaient dans des conditions peu enviables qui ont obtenu un emploi décent. « De 2005 à 2018, nous avons vu passer sous notre toit, plus de 1000 personnes », s’est-t-il réjoui.
Assid France s'active en France à protéger ces jeunes conte les proxénètes, contre la tentation de la drogue et du djihadisme.
La campagne qu'elle poursuit « contre l’envie d’aller se jeter dans la méditerranée », selon Bamba Vakaba, lui a permis de nouer des partenariats en Côte d'Ivoire, avec la direction générale des Ivoiriens de l’extérieur, la fondation Friedrich