Le 11ème sommet extraordinaire de l’Union africaine (UA) a eu lieu ce samedi à Addis-Abeba, en Ethiopie, en présence du président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara.
Consacrée à la réforme institutionnelle de l’organisation panafricaine, cette session extraordinaire était présidée par le Rwandais Paul Kagamé, président en exercice de l’UA.
A l’ouverture des travaux, le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat s’est, félicité de la tenue de ce sommet extraordinaire entièrement consacré à la réforme institutionnelle de l’Union, pour renforcer davantage l’Afrique et donner aux peuples africains l’avenir et le devenir qu’ils méritent.
Il a ajouté que cette réforme institutionnelle qui consiste en la recherche d’une efficacité accrue dans le fonctionnement, en la quête de l’autonomie financière pour baliser le chemin du renouveau continental et l’établissement d’une relation plus symbiotique avec les citoyens africains, dont le quotidien doit être amélioré et enfin, est un impératif pour les dirigeants africains de parler d’une seule voix sur la scène internationale.
Accueillant, pour sa part, le sommet, le premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, a souligné la pertinence de la réforme de l’Union africaine, rappelant que l’objectif visé est de faire avancer l’Union et l’amener à réaliser les objectifs fixés dans l’agenda 2063.
Les Chefs d’Etat et de gouvernement, dont le président Alassane Ouattara, se sont retrouvés, par la suite, à huis clos pour débattre de nombreux points portant notamment sur la réduction du nombre des commissaires, de huit à six, sur l’équilibre régional et l’approche genres.
D’autres points tels que les responsabilités des commissaires, l’augmentation de la contribution financière des pays membres et les modalités de régularisation ont été également abordés au cours de cette session à huis clos au terme de laquelle le Président Alassane Ouattara a quitté Addis-Abeba pour Abidjan.
kp
Consacrée à la réforme institutionnelle de l’organisation panafricaine, cette session extraordinaire était présidée par le Rwandais Paul Kagamé, président en exercice de l’UA.
A l’ouverture des travaux, le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat s’est, félicité de la tenue de ce sommet extraordinaire entièrement consacré à la réforme institutionnelle de l’Union, pour renforcer davantage l’Afrique et donner aux peuples africains l’avenir et le devenir qu’ils méritent.
Il a ajouté que cette réforme institutionnelle qui consiste en la recherche d’une efficacité accrue dans le fonctionnement, en la quête de l’autonomie financière pour baliser le chemin du renouveau continental et l’établissement d’une relation plus symbiotique avec les citoyens africains, dont le quotidien doit être amélioré et enfin, est un impératif pour les dirigeants africains de parler d’une seule voix sur la scène internationale.
Accueillant, pour sa part, le sommet, le premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, a souligné la pertinence de la réforme de l’Union africaine, rappelant que l’objectif visé est de faire avancer l’Union et l’amener à réaliser les objectifs fixés dans l’agenda 2063.
Les Chefs d’Etat et de gouvernement, dont le président Alassane Ouattara, se sont retrouvés, par la suite, à huis clos pour débattre de nombreux points portant notamment sur la réduction du nombre des commissaires, de huit à six, sur l’équilibre régional et l’approche genres.
D’autres points tels que les responsabilités des commissaires, l’augmentation de la contribution financière des pays membres et les modalités de régularisation ont été également abordés au cours de cette session à huis clos au terme de laquelle le Président Alassane Ouattara a quitté Addis-Abeba pour Abidjan.
kp