La Coupe d’Afrique de Handball démarre dans deux semaines au Congo Brazzaville. La Fédération Ivoirienne de Handball (FIHB) se prépare tant bien que mal afin de participer de manière qualitative à ce rendez-vous africain. Mais ce n’est pas du tout aisé...Interview avec Coulibaly Ibrahim (vice-président de la Fédération ivoirienne de handball.
A quel niveau en est-on exactement concernant la préparation avec la sélection ?
Nous sommes à 15 jours de préparation. Bien avant la préparation interne qui a commencé il y a quelques jours de cela, il y a eu une préparation externe. Arrivé en début de semaine, l’expert IHF Gilles Malfondet vient de commencer aussi son programme avec les filles.
On entend dire qu’il y a beaucoup de difficultés autour de cette préparation. Qu’est ce qui se passe exactement ?
Cette CAN n’était pas budgétisée par le ministère des Sports, parce que les dispositions n’ont pas été prises bien avant. Nous héritons d’une situation un peu compliquée mais nous nous battons avec le ministère pour pouvoir honorer de notre présence à cette CAN. Bien évidemment en essayant de faire venir les professionnelles qui devraient être là depuis lundi dernier. Mais nous sommes toujours en train de nous battre pour que ces filles puissent arriver.
Quelles conditions faut-il remplir pour que les professionnelles soient à Abidjan pour la préparation ?
Ce n’est que les billets d’avion qu’il faut prendre pour que ces filles viennent puisqu’au niveau de l’hébergement, il n’y a aucun souci.
Et qui doit prendre ces billets d’avions, la Fédération ou le ministère des Sports ?
C’est le ministère qui est censé prendre tout en charge.
Et que dit le ministère des Sports à ce niveau ?
Nous avons plusieurs reprises rencontrés la Vie fédérale qui nous dit de patienter qu’elle est en train de tout fait pour pouvoir faire venir nos athlètes. Nous faisons en tout cas ce que nous pouvons avec des courriers et des rencontres mais on nous dit d’attendre qu’ils sont à pied d’œuvre.
Est-ce que le ministère des Sports est au parfum de l’urgence de la préparation de cette CAN ?
Bien évidemment ! Cela fait un bon moment que ces tractations ont commencé et le ministère est censé savoir que la CAN débute le 2 décembre et que nous devons être au Congo Brazzaville le 30 novembre.
Est-ce que vous y croyez encore ?
Si nous ne croyons plus, c’est que ce n’est pas la peine. Mais sachez que nous nous battons et à l’impossible, nul n’est tenu. Mais je pense qu’en face de nous, les portes ne sont pas fermées. Je ne peux pas dit que le ministère ne se bat pas puisqu’il faut trouver les ressources pour une compétition qui n’est pas budgétisée, ce n’est pas facile. Mais si on s’y prend un peu tôt, je crois qu’on peut avoir des résultats.
Quelle adresse d’urgence voulez-vous faire au ministère des Sports pour que quelque chose soit faite ?
Le ministère des Sports à déjà nos préoccupation qui est de tout faire pour que nos athlètes professionnelles se retrouvent en Côte d’Ivoire dans les deux jours qui suivent. Sans ces athlètes, ce sera mission quasiment impossible.
Atapointe
A quel niveau en est-on exactement concernant la préparation avec la sélection ?
Nous sommes à 15 jours de préparation. Bien avant la préparation interne qui a commencé il y a quelques jours de cela, il y a eu une préparation externe. Arrivé en début de semaine, l’expert IHF Gilles Malfondet vient de commencer aussi son programme avec les filles.
On entend dire qu’il y a beaucoup de difficultés autour de cette préparation. Qu’est ce qui se passe exactement ?
Cette CAN n’était pas budgétisée par le ministère des Sports, parce que les dispositions n’ont pas été prises bien avant. Nous héritons d’une situation un peu compliquée mais nous nous battons avec le ministère pour pouvoir honorer de notre présence à cette CAN. Bien évidemment en essayant de faire venir les professionnelles qui devraient être là depuis lundi dernier. Mais nous sommes toujours en train de nous battre pour que ces filles puissent arriver.
Quelles conditions faut-il remplir pour que les professionnelles soient à Abidjan pour la préparation ?
Ce n’est que les billets d’avion qu’il faut prendre pour que ces filles viennent puisqu’au niveau de l’hébergement, il n’y a aucun souci.
Et qui doit prendre ces billets d’avions, la Fédération ou le ministère des Sports ?
C’est le ministère qui est censé prendre tout en charge.
Et que dit le ministère des Sports à ce niveau ?
Nous avons plusieurs reprises rencontrés la Vie fédérale qui nous dit de patienter qu’elle est en train de tout fait pour pouvoir faire venir nos athlètes. Nous faisons en tout cas ce que nous pouvons avec des courriers et des rencontres mais on nous dit d’attendre qu’ils sont à pied d’œuvre.
Est-ce que le ministère des Sports est au parfum de l’urgence de la préparation de cette CAN ?
Bien évidemment ! Cela fait un bon moment que ces tractations ont commencé et le ministère est censé savoir que la CAN débute le 2 décembre et que nous devons être au Congo Brazzaville le 30 novembre.
Est-ce que vous y croyez encore ?
Si nous ne croyons plus, c’est que ce n’est pas la peine. Mais sachez que nous nous battons et à l’impossible, nul n’est tenu. Mais je pense qu’en face de nous, les portes ne sont pas fermées. Je ne peux pas dit que le ministère ne se bat pas puisqu’il faut trouver les ressources pour une compétition qui n’est pas budgétisée, ce n’est pas facile. Mais si on s’y prend un peu tôt, je crois qu’on peut avoir des résultats.
Quelle adresse d’urgence voulez-vous faire au ministère des Sports pour que quelque chose soit faite ?
Le ministère des Sports à déjà nos préoccupation qui est de tout faire pour que nos athlètes professionnelles se retrouvent en Côte d’Ivoire dans les deux jours qui suivent. Sans ces athlètes, ce sera mission quasiment impossible.
Atapointe