La Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) a de nouveau ouvert ses portes aux journalistes économiques du Sénégal. C'est dans le cadre de la rencontre thématique initiée par l'Institution émettrice pour davantage faire connaître son mode de fonctionnement, ses mécanismes et ses missions.
Après la première édition des rencontres thématiques portant sur le “Définition et la mise en œuvre de la politique monétaire“, en septembre 2018, la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) a invité des journalistes économiques du Sénégal pour des échanges autour de la question de l'“Inclusion financière“.
Auparavant, après l'ouverture officielle de la rencontre thématique présidée par Mme Danielle Benoist, Conseiller en Communication du Gouverneur, un film intitulé “FCFA: préjugés et vérités“ a été projeté. La réalisation d'à peu près une heure de temps traite de la polémique liée au Franc ; les préjugés qui l'accompagnent et les vérités souvent peu connues.
"Notre Banque centrale, son travail, c'est de faire en sorte que les intérêts de notre Union soit préservés", a commenté Alioune Blondin Bèye, directeur général de l'Administration et du patrimoine de la BCEAO à la suite du visionnage. Au cours des échanges la solidité du Franc CFA, monnaie de l'Union Économique et Monétaire Ouest africaine (UEMOA), a été évoquée. Et c'est d'ailleurs parce qu'il s'agit d'une monnaie sûre, pas périlleuse, qu'elle est garantie par la France, a-t-on assuré.
L'autre thématique abordée lors de cette rencontre avec la presse concerne l'inclusion financière. En l'espace de quelques années, la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest a fait d'énormes progrès dans la promotion de l'inclusion financière dans la zone. Le taux d'inclusion financière dans l'UEMOA est de 55 % aujourd'hui alors qu'à la même période en 2017, il était à 45 %.
La Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest compte poursuivre ses actions en faveur d'une inclusion financière plus marquée dans la zone de l'UEMOA. Dans ce sens, les efforts pour la sécurité et la qualité des services, la protection des consommateurs, une meilleure éducation financière des populations, une réduction des coûts et une concurrence équitable vont être notamment accentués.
MC
Après la première édition des rencontres thématiques portant sur le “Définition et la mise en œuvre de la politique monétaire“, en septembre 2018, la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) a invité des journalistes économiques du Sénégal pour des échanges autour de la question de l'“Inclusion financière“.
Auparavant, après l'ouverture officielle de la rencontre thématique présidée par Mme Danielle Benoist, Conseiller en Communication du Gouverneur, un film intitulé “FCFA: préjugés et vérités“ a été projeté. La réalisation d'à peu près une heure de temps traite de la polémique liée au Franc ; les préjugés qui l'accompagnent et les vérités souvent peu connues.
"Notre Banque centrale, son travail, c'est de faire en sorte que les intérêts de notre Union soit préservés", a commenté Alioune Blondin Bèye, directeur général de l'Administration et du patrimoine de la BCEAO à la suite du visionnage. Au cours des échanges la solidité du Franc CFA, monnaie de l'Union Économique et Monétaire Ouest africaine (UEMOA), a été évoquée. Et c'est d'ailleurs parce qu'il s'agit d'une monnaie sûre, pas périlleuse, qu'elle est garantie par la France, a-t-on assuré.
L'autre thématique abordée lors de cette rencontre avec la presse concerne l'inclusion financière. En l'espace de quelques années, la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest a fait d'énormes progrès dans la promotion de l'inclusion financière dans la zone. Le taux d'inclusion financière dans l'UEMOA est de 55 % aujourd'hui alors qu'à la même période en 2017, il était à 45 %.
La Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest compte poursuivre ses actions en faveur d'une inclusion financière plus marquée dans la zone de l'UEMOA. Dans ce sens, les efforts pour la sécurité et la qualité des services, la protection des consommateurs, une meilleure éducation financière des populations, une réduction des coûts et une concurrence équitable vont être notamment accentués.
MC