Près de 8 500 éléments des forces de l’ordre ont été déployés pour la sécurisation des élections locales ivoiriennes, a indiqué dimanche à Grand-Bassam, ville située à 20 Km au Sud-Est d’Abidjan, le chef d’état-major des forces armées, le Général de corps d’armées Sékou Touré.
Pour « l’ensemble des opérations » de sécurisation des élections régionales et municipales partielles « nous pouvons dire qu’au finish, nous sommes autour de 8 000 à 8 500 agents », a dit le Général de corps d’armée, Touré Sékou.
Il a souligné que 3 250 agents de la gendarmerie et 3 250 éléments de la police ont été mobilisés, avec un appui de « 600 à 700 » hommes pour les armées compte tenu de l’enjeu du scrutin, avant d’ajouter que l’effectif a été encore renforcé.
Le dispositif est le même partout. Et ce, pour afficher une « présence marquée » des forces de l’ordre, a dit le Chef d’Etat-major des armées Sékou Touré , après une visite de bureaux de vote à Port-Bouët, dans le Sud d’Abidjan et à Grand-Bassam.
A Grand-Bassam, première capitale coloniale de la Côte d’Ivoire, Philippe Ezaley, le maire sortant, et Jean-Louis Moulot, candidat du Rhdp (Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix), s’affrontent pour les élections municipales partielles.
M. Ezaley a dénoncé « un état de siège pratiquement de policiers et militaires dans certaines zones par rapport à d’autres ». Plusieurs blindés et engins des forces de l’ordre sont perceptibles dans la ville dans le cadre de la sécurisation du vote.
Quant à son rival, Jean-Louis Moulot, lui, affiche la sérénité. Il se dit « confiant » de « confirmer » sa victoire en dépit de « quelques retards » observés à l’ouverture des bureaux de vote et des « tablettes défaillantes ». Il est soutenu par Adjoumani Kouassi, porte-parole du Rhdp.
Les élections locales partielles sont reprises dans deux régions du pays et six communes dont Grand-Bassam, patrimoine mondial de l’Unesco, et Port-Bouët, une cité balnéaire dans le Sud d’Abidjan.
AP/ls/APA
Pour « l’ensemble des opérations » de sécurisation des élections régionales et municipales partielles « nous pouvons dire qu’au finish, nous sommes autour de 8 000 à 8 500 agents », a dit le Général de corps d’armée, Touré Sékou.
Il a souligné que 3 250 agents de la gendarmerie et 3 250 éléments de la police ont été mobilisés, avec un appui de « 600 à 700 » hommes pour les armées compte tenu de l’enjeu du scrutin, avant d’ajouter que l’effectif a été encore renforcé.
Le dispositif est le même partout. Et ce, pour afficher une « présence marquée » des forces de l’ordre, a dit le Chef d’Etat-major des armées Sékou Touré , après une visite de bureaux de vote à Port-Bouët, dans le Sud d’Abidjan et à Grand-Bassam.
A Grand-Bassam, première capitale coloniale de la Côte d’Ivoire, Philippe Ezaley, le maire sortant, et Jean-Louis Moulot, candidat du Rhdp (Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix), s’affrontent pour les élections municipales partielles.
M. Ezaley a dénoncé « un état de siège pratiquement de policiers et militaires dans certaines zones par rapport à d’autres ». Plusieurs blindés et engins des forces de l’ordre sont perceptibles dans la ville dans le cadre de la sécurisation du vote.
Quant à son rival, Jean-Louis Moulot, lui, affiche la sérénité. Il se dit « confiant » de « confirmer » sa victoire en dépit de « quelques retards » observés à l’ouverture des bureaux de vote et des « tablettes défaillantes ». Il est soutenu par Adjoumani Kouassi, porte-parole du Rhdp.
Les élections locales partielles sont reprises dans deux régions du pays et six communes dont Grand-Bassam, patrimoine mondial de l’Unesco, et Port-Bouët, une cité balnéaire dans le Sud d’Abidjan.
AP/ls/APA