Ce sont les bras chargés de présents que les membres de la Fondation Yeelen, avec à leur tête leur présidente, Madame Sarah Koffi D ont rendu visite aux pensionnaires de la pouponnière de Dabou, le dimanche 23 décembre 2018. « Par ce geste, nous vous traduisons, chers enfants, notre amour et vous disons que vous comptez à nos yeux, surtout vous rappelez que vous n’êtes pas des oubliés. Nous nous tenons à vos côtés pour vous apporter notre aide aussi modeste soit-elle », a indiqué la présidente de la fondation.
Pour elle, en effet, ce geste en nature (vivres, non-vivres, médicaments, ordinateurs, matériels médicaux, écran TV…) et en numéraire est l’expression de la volonté de la fondation à partager les idéaux de Yeelen qui, selon la présidente, est la traduction littérale de la lumière en langue Bambara, c’est à dire l’espérance. « Continuons à travailler ainsi pour maintenir allumée, cette flamme qu’est Yeelen », a-t-elle exhorté, avant d’exprimer toute sa reconnaissance « aux mamans » et aux encadreurs qui, malgré leurs moyens limités, font preuve d’abnégation pour donner de la joie aux 91 pensionnaires de la pouponnière de Dabou. « Merci à tous et que Dieu nous donne la force de faire davantage, afin de semer la lumière de l’espoir dans le cœur de tous », a souligné Madame Sarah Koffi D.
Pour la première responsable de l’établissement, Madame Ouattara Korotoumou, l’acte de la fondation Yeelen dont elle se réjouit, s’inscrit dans le cadre de l’humanisation de la société qui, pour elle, doit être une action vers laquelle tous doivent tendre. « Elle débute par la solidarité envers les plus affectés, envers les plus diminués physiquement, socialement et intellectuellement. Car, chaque enfant qui souffre est un acte d’humanisation qui se perd », a noté la Directrice de la pouponnière de Dabou.
Pour Madame Ouattara, le geste fort appréciable de la fondation vient à point nommé car, les besoins des pensionnaires sont si grands du fait des pathologies pour la plupart invalidantes qu’ils présentent. Il s’agit notamment d’infirmes moteurs cérébraux, d’autisme, psychoses infantiles divers, mutité, surdité, hydrocéphalie, microcéphalie, troubles de l’attention et bien d’autres maux.
Fort heureusement, les enfants ont fait preuve de dépassement de soi et ont donné le meilleur d’eux-mêmes dans une ambiance festive, à travers des pas de danse bien enlevés, la lecture de poèmes et des jeux de propreté pour communier avec leurs visiteurs de la Fondation Yeelen.
Atapointe
Pour elle, en effet, ce geste en nature (vivres, non-vivres, médicaments, ordinateurs, matériels médicaux, écran TV…) et en numéraire est l’expression de la volonté de la fondation à partager les idéaux de Yeelen qui, selon la présidente, est la traduction littérale de la lumière en langue Bambara, c’est à dire l’espérance. « Continuons à travailler ainsi pour maintenir allumée, cette flamme qu’est Yeelen », a-t-elle exhorté, avant d’exprimer toute sa reconnaissance « aux mamans » et aux encadreurs qui, malgré leurs moyens limités, font preuve d’abnégation pour donner de la joie aux 91 pensionnaires de la pouponnière de Dabou. « Merci à tous et que Dieu nous donne la force de faire davantage, afin de semer la lumière de l’espoir dans le cœur de tous », a souligné Madame Sarah Koffi D.
Pour la première responsable de l’établissement, Madame Ouattara Korotoumou, l’acte de la fondation Yeelen dont elle se réjouit, s’inscrit dans le cadre de l’humanisation de la société qui, pour elle, doit être une action vers laquelle tous doivent tendre. « Elle débute par la solidarité envers les plus affectés, envers les plus diminués physiquement, socialement et intellectuellement. Car, chaque enfant qui souffre est un acte d’humanisation qui se perd », a noté la Directrice de la pouponnière de Dabou.
Pour Madame Ouattara, le geste fort appréciable de la fondation vient à point nommé car, les besoins des pensionnaires sont si grands du fait des pathologies pour la plupart invalidantes qu’ils présentent. Il s’agit notamment d’infirmes moteurs cérébraux, d’autisme, psychoses infantiles divers, mutité, surdité, hydrocéphalie, microcéphalie, troubles de l’attention et bien d’autres maux.
Fort heureusement, les enfants ont fait preuve de dépassement de soi et ont donné le meilleur d’eux-mêmes dans une ambiance festive, à travers des pas de danse bien enlevés, la lecture de poèmes et des jeux de propreté pour communier avec leurs visiteurs de la Fondation Yeelen.
Atapointe