Agnibilékrou, 25 déc (AIP)-L’activité de revente de volailles, particulièrement de poulets, a gagné une certaine vigueur à l’occasion des fêtes de fin d'année avec des commerçants occasionnels qui ont fait surface à Agnibilékrou (Est, région de l'Indenié-Djuablin).
Nombreuses sont les personnes qui se sont reconverties en revendeurs de poulets dans cette zone de grand élevage de volailles.
Kouadio Jules, la quarantaine révolue, photographe et caméraman en plein temps, devient vendeurs de poulets quand les fêtes de Noël et de saint Sylvestr, s'annoncent, se plait-il à affirmer.
"Chaque fois qu'il y a des fêtes chrétiennes ou musulmanes, je prends attache avec les fermiers qui me vendent leurs poulets que je vais revendre à mon tour avec un écart bénéficiaire de 300 à 500 francs", a indiqué Kouadio Jules, ajoutant que l'activité était très rentable dans le temps, mais depuis un moment, il faut avouer que l'argent se faisant rare, beaucoup de familles n'arrivent plus à s'offrir un poulet et "cela se ressent chez nous", explique-t-il.
Des hommes, femmes, jeunes et adultes, travailleurs et élèves s'adonnent comme Kouadio Jules à la revente des poulets dans des caisses ambulantes ou dans des boxes conçus pour l'occasion aux abords des routes du périmètre du quartier Commerce de la ville d’Agnibilékrou, a-t-on constaté.
Cette activité spontanée présente, d’ailleurs l'avantage de la proximité des clients avec les volailles comme en témoignent certaines personnes.
"La présence des vendeurs occasionnels m'évite d'entrer au coeur du marché et me fait gagner un précieux temps. Quelques fois même, ils sont moins chers", révèlent-ils.
A Agnibilékrou, en période de fêtes populaires, l’activité de revente de poulets est une aubaine que bien d'individus saisissent pour se faire une importante surface financière.
(AIP)
Jcl/kp
Nombreuses sont les personnes qui se sont reconverties en revendeurs de poulets dans cette zone de grand élevage de volailles.
Kouadio Jules, la quarantaine révolue, photographe et caméraman en plein temps, devient vendeurs de poulets quand les fêtes de Noël et de saint Sylvestr, s'annoncent, se plait-il à affirmer.
"Chaque fois qu'il y a des fêtes chrétiennes ou musulmanes, je prends attache avec les fermiers qui me vendent leurs poulets que je vais revendre à mon tour avec un écart bénéficiaire de 300 à 500 francs", a indiqué Kouadio Jules, ajoutant que l'activité était très rentable dans le temps, mais depuis un moment, il faut avouer que l'argent se faisant rare, beaucoup de familles n'arrivent plus à s'offrir un poulet et "cela se ressent chez nous", explique-t-il.
Des hommes, femmes, jeunes et adultes, travailleurs et élèves s'adonnent comme Kouadio Jules à la revente des poulets dans des caisses ambulantes ou dans des boxes conçus pour l'occasion aux abords des routes du périmètre du quartier Commerce de la ville d’Agnibilékrou, a-t-on constaté.
Cette activité spontanée présente, d’ailleurs l'avantage de la proximité des clients avec les volailles comme en témoignent certaines personnes.
"La présence des vendeurs occasionnels m'évite d'entrer au coeur du marché et me fait gagner un précieux temps. Quelques fois même, ils sont moins chers", révèlent-ils.
A Agnibilékrou, en période de fêtes populaires, l’activité de revente de poulets est une aubaine que bien d'individus saisissent pour se faire une importante surface financière.
(AIP)
Jcl/kp