Abidjan - L’ex-Première dame ivoirienne, Simone Ehivet Gbagbo, a appelé mardi à la réconciliation en Côte d’Ivoire, un pays, selon elle, « traversé par des blessures et déchirures profondes » depuis la crise postélectorale de 2010-2011.
« Nous sommes conscients que notre pays est traversé par des blessures et déchirures profondes ; c’est pour cela que je réitère mon appelle à la réconciliation, au pardon et à la paix », a déclaré Mme Gbagbo dans une déclaration publiée sur sa page Facebook officielle, dans un message de nouvel an adressé à ses partisans.
Elle déplore toutefois q’une « trentaine de militaires et de civiles » n’aient pas bénéficié de la mesure d’amnistie prise par le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara l’année écoulée (2018), et qui a favorisé elle-même sa libération ainsi que quelque 500 détenus de la crise postélectorale.
« J’appelle de tout mon cœur leur libération », a-t-elle plaidé, souhaitant par la même occasion la libération de son époux, l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, et l’ex-leader des « Jeunes patriotes » Charles Blé Goudé, tous deux poursuivis devant la Cour pénale internationale pour divers crimes contre l’humanité commis durant la même crise.
Simone Gbagbo a également suggéré « que des dispositions et mesures pratiques soient prises pour organiser le retour des exilés » politiques.
tm
« Nous sommes conscients que notre pays est traversé par des blessures et déchirures profondes ; c’est pour cela que je réitère mon appelle à la réconciliation, au pardon et à la paix », a déclaré Mme Gbagbo dans une déclaration publiée sur sa page Facebook officielle, dans un message de nouvel an adressé à ses partisans.
Elle déplore toutefois q’une « trentaine de militaires et de civiles » n’aient pas bénéficié de la mesure d’amnistie prise par le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara l’année écoulée (2018), et qui a favorisé elle-même sa libération ainsi que quelque 500 détenus de la crise postélectorale.
« J’appelle de tout mon cœur leur libération », a-t-elle plaidé, souhaitant par la même occasion la libération de son époux, l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, et l’ex-leader des « Jeunes patriotes » Charles Blé Goudé, tous deux poursuivis devant la Cour pénale internationale pour divers crimes contre l’humanité commis durant la même crise.
Simone Gbagbo a également suggéré « que des dispositions et mesures pratiques soient prises pour organiser le retour des exilés » politiques.
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