Les Etats généraux de la jeunesse ivoirienne qui se sont tenus les 9, 10 et 11 janvier 2019 se sont aussi penchés sur la participation politique des jeunes. Cette rencontre a eu lieu à l’hôtel Azalai, à Marcory.
C’était une initiative de la Fondation Friedrich Naumann. Le conférencier du jour, Monsieur Honorat De Yedagne a exhorté les jeunes «à prendre leur part au changement» qui s’opère aujourd’hui. Tout en exhortant ses hôtes à avoir une conscience, à faire des choix avec conviction, engagement, à se battre pour des valeurs et la culture de l’excellence, l’ex-Directeur général de Fraternité Matin a indiqué qu’il devrait y avoir un nouveau pacte social contre la corruption.
Selon le chargé de programme de cette Fondation, Magloire N’Déhi, il s’agissait non seulement au cours de cette rencontre de donner un cadre de participation et d’échanges aux jeunes des partis politiques, de la société civile et des organes des médias pour qu’ils s’expriment sur le contexte dans lequel évoluent les jeunes au niveau du cadre juridique, institutionnel, politique. Mais aussi voir les obstacles qui les empêchent de véritablement participer à la gestion des affaires publiques.
Au sortir de ces échanges, plusieurs recommandations ont été formulées afin de voir comment améliorer le cadre de l’engagement des jeunes dans les affaires politiques.
Il a été décidé de créer un centre de formation politique et d’études géopolitiques pour les jeunes, d’instaurer un quota de 20% de jeunes dans les institutions de prises de décisions et sur les listes des élections locales, de reformer et relancer le « répertoire des compétences jeunes » pour faciliter la nomination des jeunes aux instances de prises de décisions, de créer un fonds d’appui aux projets sociaux et politiques des jeunes, de réinstaurer le service civique et militaire obligatoire dès l’âge de 16 ans, d’exonérer de taxes et impôts tous les jeunes de moins de 35 ans qui créent une entreprise pendant 3 ans et d’instituer les Awards des « jeunes leaders politiques » (partis politiques, société civile, medias) pour valoriser l’engagement politique de la jeunesse.
C’était une initiative de la Fondation Friedrich Naumann. Le conférencier du jour, Monsieur Honorat De Yedagne a exhorté les jeunes «à prendre leur part au changement» qui s’opère aujourd’hui. Tout en exhortant ses hôtes à avoir une conscience, à faire des choix avec conviction, engagement, à se battre pour des valeurs et la culture de l’excellence, l’ex-Directeur général de Fraternité Matin a indiqué qu’il devrait y avoir un nouveau pacte social contre la corruption.
Selon le chargé de programme de cette Fondation, Magloire N’Déhi, il s’agissait non seulement au cours de cette rencontre de donner un cadre de participation et d’échanges aux jeunes des partis politiques, de la société civile et des organes des médias pour qu’ils s’expriment sur le contexte dans lequel évoluent les jeunes au niveau du cadre juridique, institutionnel, politique. Mais aussi voir les obstacles qui les empêchent de véritablement participer à la gestion des affaires publiques.
Au sortir de ces échanges, plusieurs recommandations ont été formulées afin de voir comment améliorer le cadre de l’engagement des jeunes dans les affaires politiques.
Il a été décidé de créer un centre de formation politique et d’études géopolitiques pour les jeunes, d’instaurer un quota de 20% de jeunes dans les institutions de prises de décisions et sur les listes des élections locales, de reformer et relancer le « répertoire des compétences jeunes » pour faciliter la nomination des jeunes aux instances de prises de décisions, de créer un fonds d’appui aux projets sociaux et politiques des jeunes, de réinstaurer le service civique et militaire obligatoire dès l’âge de 16 ans, d’exonérer de taxes et impôts tous les jeunes de moins de 35 ans qui créent une entreprise pendant 3 ans et d’instituer les Awards des « jeunes leaders politiques » (partis politiques, société civile, medias) pour valoriser l’engagement politique de la jeunesse.