Le parc national du Banco a reçu plus de 12000 visites lors de l’année 2018, un chiffre encore très insuffisant selon l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR) qui compte tout mettre en œuvre pour que 10% de la population ivoirienne, soit plus de cinq cent mille habitants aient pour habitude de visiter cet espace touristique situé en plein cœur d’Abidjan.
Dans l’optique d’améliorer ce chiffre eu égard de la population d’Abidjan estimée à 5 millions d’habitants, il a entrepris de faire visiter la forêt du Banco par plusieurs structures et notamment plusieurs couches de la population.
Cette action qui s’inscrit dans le cadre du Projet de gestion des aires protégées de Côte d’Ivoire a démarré ce mardi 15 janvier avec les représentants des agences de voyage.
Il s’agissait de faire découvrir aux gérants de ces agences, les attraits de la forêt du Banco afin qu’ils puissent l’intégrer dans les destinations privilégiées qu’ils proposent à leurs visiteurs, a expliqué Kouakou Evrard, Directeur des Finances et de la Comptabilité à l’OIPR.
Cela va permettre également de contribuer, de façon durable, à la préservation et à la valorisation, dans les parcs nationaux et réserves, d’un échantillon représentatif de la diversité biologique nationale ainsi qu’au maintien des processus écologiques.
« Ce sont des visites qui vont se répéter. Elles vont s’étendre aux autorités administratives, coutumières et autres couches de la population avant de s’achever avec la sortie des élèves du district d’Abidjan » a-t-il rassuré.
Durant leur tournée, les touristes du jour ont pu découvrir le joyau que renfermait ce parc, notamment l’étang piscicole du parc, l’arboretum situé au cœur du parc, l’écomusée, l’école forestière… à contrario des ouï-dire d’agressions et de vols qui circulent dans la ville.
Le Projet sur les aires protégées de la Côte d’Ivoire a pour objectif de développement d’améliorer la gestion durable de la faune et de l’habitat du Parc national du Banco.
Atapointe
Dans l’optique d’améliorer ce chiffre eu égard de la population d’Abidjan estimée à 5 millions d’habitants, il a entrepris de faire visiter la forêt du Banco par plusieurs structures et notamment plusieurs couches de la population.
Cette action qui s’inscrit dans le cadre du Projet de gestion des aires protégées de Côte d’Ivoire a démarré ce mardi 15 janvier avec les représentants des agences de voyage.
Il s’agissait de faire découvrir aux gérants de ces agences, les attraits de la forêt du Banco afin qu’ils puissent l’intégrer dans les destinations privilégiées qu’ils proposent à leurs visiteurs, a expliqué Kouakou Evrard, Directeur des Finances et de la Comptabilité à l’OIPR.
Cela va permettre également de contribuer, de façon durable, à la préservation et à la valorisation, dans les parcs nationaux et réserves, d’un échantillon représentatif de la diversité biologique nationale ainsi qu’au maintien des processus écologiques.
« Ce sont des visites qui vont se répéter. Elles vont s’étendre aux autorités administratives, coutumières et autres couches de la population avant de s’achever avec la sortie des élèves du district d’Abidjan » a-t-il rassuré.
Durant leur tournée, les touristes du jour ont pu découvrir le joyau que renfermait ce parc, notamment l’étang piscicole du parc, l’arboretum situé au cœur du parc, l’écomusée, l’école forestière… à contrario des ouï-dire d’agressions et de vols qui circulent dans la ville.
Le Projet sur les aires protégées de la Côte d’Ivoire a pour objectif de développement d’améliorer la gestion durable de la faune et de l’habitat du Parc national du Banco.
Atapointe