Ce sont 45 tonnes de sucre prohibées, d’origine brésilienne, d’une valeur marchande de 75 millions de CFA en provenance du Mali qui ont été saisies par la direction régionale des douanes dans le nord ivoirien. Cette prise s’est produite dans la nuit du 27 au 28 Janvier 2019 à Zaguinasso, axe Tengrela –Boundiali.
Selon le Colonel Kamagaté Ibrahim , directeur régional basé à Korhogo, la marchandise prohibée était transportée par un camion immatriculé 4531HH 04 qui s’apprêtait à rallier la ville de Bouaké .
« Ce camion lourdement chargé est venu du Mali et s’apprêtait à déverser son contenu sur les marchés ivoiriens lorsqu’il a été saisi par le Lieutenant Gbégbé Marc Valère chef de la brigade moto et ses hommes. Le camion a été suivi par la douane moto dès son entrée sur le territoire ivoirien grâce à notre stratégie de réseau d’information pour le cueillir à Zaguinasso (Tengrela). Si ce sucre prohibé était ventilé sur les marchés ivoiriens c’est une perte d’une valeur marchande de 75 millions de francs CFA qu’enregistreraient les sociétés sucrières exerçant dans la région qui emploient des ivoiriens, paient des impôts à l’Etat tout en contribuant à l’économie de cette partie du pays. Ensuite la qualité de ce sucre ne peut être certifiée, les conditions de conservation ne peuvent être non plus définies et la consommation aggraverait la santé des populations par des maladies (diabète, tension artérielle, insuffisance rénale…) » explique le colonel Kamagaté Ibrahim.
Les 45 tonnes de sucre d’origine Brésilienne seront détruites ou mises à la disposition des sociétés sucrières qui sont liées par une convention avec l’Etat de Côte d’Ivoire, conformément à la règle en vigueur. Ensuite le camion sera soumis à une amende fixée par la hiérarchie.
Au nom de l’association des industries sucrières de Côte d’Ivoire (ASI CI) Coulibaly Pkatilo Zié a salué l’action des douanes ivoiriennes auxquelles elles sont liées par une convention avant de préciser que « la fraude représente un manque à gagner pour nous sociétés sucrières. Nous remercions le colonel Kamagaté et ses hommes car ses actions nous permettent de demeurer, d’exister, de préserver la santé de nos populations et surtout de donner de l’emploi en zone rurale où se trouve la quasi de nos sociétés sucrières… »
Plus d’une centaine de tonnes de sucre prohibées ont été saisies au cours de l’année 2018 par les douanes ivoiriennes du Nord pour une valeur marchande de plus de 250 millions FCFA.
Aly O. à Korhogo
Selon le Colonel Kamagaté Ibrahim , directeur régional basé à Korhogo, la marchandise prohibée était transportée par un camion immatriculé 4531HH 04 qui s’apprêtait à rallier la ville de Bouaké .
« Ce camion lourdement chargé est venu du Mali et s’apprêtait à déverser son contenu sur les marchés ivoiriens lorsqu’il a été saisi par le Lieutenant Gbégbé Marc Valère chef de la brigade moto et ses hommes. Le camion a été suivi par la douane moto dès son entrée sur le territoire ivoirien grâce à notre stratégie de réseau d’information pour le cueillir à Zaguinasso (Tengrela). Si ce sucre prohibé était ventilé sur les marchés ivoiriens c’est une perte d’une valeur marchande de 75 millions de francs CFA qu’enregistreraient les sociétés sucrières exerçant dans la région qui emploient des ivoiriens, paient des impôts à l’Etat tout en contribuant à l’économie de cette partie du pays. Ensuite la qualité de ce sucre ne peut être certifiée, les conditions de conservation ne peuvent être non plus définies et la consommation aggraverait la santé des populations par des maladies (diabète, tension artérielle, insuffisance rénale…) » explique le colonel Kamagaté Ibrahim.
Les 45 tonnes de sucre d’origine Brésilienne seront détruites ou mises à la disposition des sociétés sucrières qui sont liées par une convention avec l’Etat de Côte d’Ivoire, conformément à la règle en vigueur. Ensuite le camion sera soumis à une amende fixée par la hiérarchie.
Au nom de l’association des industries sucrières de Côte d’Ivoire (ASI CI) Coulibaly Pkatilo Zié a salué l’action des douanes ivoiriennes auxquelles elles sont liées par une convention avant de préciser que « la fraude représente un manque à gagner pour nous sociétés sucrières. Nous remercions le colonel Kamagaté et ses hommes car ses actions nous permettent de demeurer, d’exister, de préserver la santé de nos populations et surtout de donner de l’emploi en zone rurale où se trouve la quasi de nos sociétés sucrières… »
Plus d’une centaine de tonnes de sucre prohibées ont été saisies au cours de l’année 2018 par les douanes ivoiriennes du Nord pour une valeur marchande de plus de 250 millions FCFA.
Aly O. à Korhogo