Le Professeur Mariatou Koné, Ministre de la Solidarité, de la Cohésion Sociale et de la lutte contre la Pauvreté a invité depuis Ouazomon, village situé à une dizaine de kilomètres de Boundiali, les populations ivoiriennes particulièrement celles du nord de la Côte d’Ivoire à poursuivre leurs efforts dans le cadre de la scolarisation de la jeune fille.
Elle a lancé cet appel le vendredi 01 février à Boundiali à l’occasion de la cérémonie d’intronisation du nouveau chef dudit village.
Accompagnée d’une forte délégation du corps préfectoral et de nombreux cadres de la région de la Bagoué, dont Siama Bamba, président du Conseil Régional, la Ministre s’est voulue formelle. « Pour que les femmes aient les mêmes chances que les hommes pour occuper de hauts postes de responsabilité dans le secteur public ou dans le secteur privé, il faut mettre les filles à l'école. Pour cela, nous devons mettre fin aux mariages précoces, au retrait des enfants des salles de classe pour les travaux champêtres, les travaux ménagers ou encore pour surveiller le bétail » a-t-elle rappelé.
Ainsi a-t-elle invité à la scolarisation de la jeune fille pour lui offrir de meilleures opportunités. « La scolarisation de la petite fille lui ouvre de meilleures perspectives pour son intégration économique, sociale et une vie familiale épanouie. Une fille à l'école, c'est la famille qui gagne, c'est la communauté qui gagne, c’est le village qui gagne. En fin de compte, c'est toute la Côte d'Ivoire qui gagne.
Elle a lancé cet appel le vendredi 01 février à Boundiali à l’occasion de la cérémonie d’intronisation du nouveau chef dudit village.
Accompagnée d’une forte délégation du corps préfectoral et de nombreux cadres de la région de la Bagoué, dont Siama Bamba, président du Conseil Régional, la Ministre s’est voulue formelle. « Pour que les femmes aient les mêmes chances que les hommes pour occuper de hauts postes de responsabilité dans le secteur public ou dans le secteur privé, il faut mettre les filles à l'école. Pour cela, nous devons mettre fin aux mariages précoces, au retrait des enfants des salles de classe pour les travaux champêtres, les travaux ménagers ou encore pour surveiller le bétail » a-t-elle rappelé.
Ainsi a-t-elle invité à la scolarisation de la jeune fille pour lui offrir de meilleures opportunités. « La scolarisation de la petite fille lui ouvre de meilleures perspectives pour son intégration économique, sociale et une vie familiale épanouie. Une fille à l'école, c'est la famille qui gagne, c'est la communauté qui gagne, c’est le village qui gagne. En fin de compte, c'est toute la Côte d'Ivoire qui gagne.