Abidjan- Le ministre des Affaires étrangères, Marcel Amon-Tanoh, a fait vendredi à Abidjan un point de la présidence de la Côte d'Ivoire au Conseil de sécurité de l'ONU, soulignant que les autorités ivoiriennes ont mis l'accent sur deux aspects à cette occasion.
La Côte d’Ivoire a assuré durant le mois de décembre 2018 la présidence du Conseil de sécurité, rappelle-t-on.
Selon le ministre Amon-Tanoh, les autorités ivoiriennes ont organisé un débat présidentiel de haut niveau sur la problématique du lien entre la sortie de crise et le développement économique et social d’un Etat. La plupart du temps, les Etats se focalisent sur la sortie de crise avant d'aborder le développement économique et social, ce qui n'a pas été le cas pour la Côte d’Ivoire, a fait savoir le chef de la diplomatie.
Il a indiqué que les autorités ivoiriennes ont traité ces deux aspects de manière concomitante, parce que les populations, ayant souffert de la crise, n'étaient pas prêtes à attendre que les problèmes soient traités au cas par cas.
Ce qui a permis â la Côte d'Ivoire de sortir de la crise très rapidement, a indiqué Marcel Amon-Tanoh, ajoutant que les autorités ivoiriennes se sont donné les moyens de financer à hauteur de 72%, le DDR et la RSS.
En plus des moyens financiers, il y a eu le taux de croissance économique de la Côte d'Ivoire qui a atteint, de 2012 à 2018, un peu plus de 8%.
Ces deux choses ont permis à la Côte d'Ivoire de sortir très rapidement de la crise, s’est félicité le ministre des Affaires étrangères lors d'un entretien, vendredi à Abidjan, avec le Groupe de travail du Conseil de l'Union européenne sur l'Afrique (COAFR).
(AIP)
Sdaf/kp
La Côte d’Ivoire a assuré durant le mois de décembre 2018 la présidence du Conseil de sécurité, rappelle-t-on.
Selon le ministre Amon-Tanoh, les autorités ivoiriennes ont organisé un débat présidentiel de haut niveau sur la problématique du lien entre la sortie de crise et le développement économique et social d’un Etat. La plupart du temps, les Etats se focalisent sur la sortie de crise avant d'aborder le développement économique et social, ce qui n'a pas été le cas pour la Côte d’Ivoire, a fait savoir le chef de la diplomatie.
Il a indiqué que les autorités ivoiriennes ont traité ces deux aspects de manière concomitante, parce que les populations, ayant souffert de la crise, n'étaient pas prêtes à attendre que les problèmes soient traités au cas par cas.
Ce qui a permis â la Côte d'Ivoire de sortir de la crise très rapidement, a indiqué Marcel Amon-Tanoh, ajoutant que les autorités ivoiriennes se sont donné les moyens de financer à hauteur de 72%, le DDR et la RSS.
En plus des moyens financiers, il y a eu le taux de croissance économique de la Côte d'Ivoire qui a atteint, de 2012 à 2018, un peu plus de 8%.
Ces deux choses ont permis à la Côte d'Ivoire de sortir très rapidement de la crise, s’est félicité le ministre des Affaires étrangères lors d'un entretien, vendredi à Abidjan, avec le Groupe de travail du Conseil de l'Union européenne sur l'Afrique (COAFR).
(AIP)
Sdaf/kp