Le secrétaire régional de l’Agri-police, syndicat spécialisé dans le contrôle et la surveillance des prix et droits agricoles a plaidé pour la revue à la hausse du prix d’achat bord champ de l’anacarde fixé à 375 F CFA par l’Etat de Côte d’Ivoire.
Lors d’une conférence de presse animée samedi à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo), en présence de nombreux producteurs d’anacarde, Samigno Mathieu a indiqué que ce prix ne pourra pas répondre aux besoins des paysans.
Il a invité l’Etat à revoir à la baisse les prélèvements liés à la vente de la noix de cajou pour une hausse du prix du kilogramme de ce produit commercialisé sur une période de trois mois dans l’année.
"Nous demandons que les autorités se penchent sur le sort du paysan qui constitue la sève nutritionnelle de l’économie", a-t-il soutenu, indiquant les étapes franchies par le producteur, du ramassage jusqu’à la commercialisation de la noix de cajou, sont très coûteuses pour le producteur.
M. Samigno s’est indigné de la fuite de l’anacarde vers les pays limitrophes, ajoutant que son syndicat est conscient de ce fléau qui masque les efforts fournis par les producteurs ivoiriens au bénéfice des Etats recevant ces noix de cajou.
Le syndicat Agri-police possède une centaine de sections dans le Gontougo.
Lors d’une conférence de presse animée samedi à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo), en présence de nombreux producteurs d’anacarde, Samigno Mathieu a indiqué que ce prix ne pourra pas répondre aux besoins des paysans.
Il a invité l’Etat à revoir à la baisse les prélèvements liés à la vente de la noix de cajou pour une hausse du prix du kilogramme de ce produit commercialisé sur une période de trois mois dans l’année.
"Nous demandons que les autorités se penchent sur le sort du paysan qui constitue la sève nutritionnelle de l’économie", a-t-il soutenu, indiquant les étapes franchies par le producteur, du ramassage jusqu’à la commercialisation de la noix de cajou, sont très coûteuses pour le producteur.
M. Samigno s’est indigné de la fuite de l’anacarde vers les pays limitrophes, ajoutant que son syndicat est conscient de ce fléau qui masque les efforts fournis par les producteurs ivoiriens au bénéfice des Etats recevant ces noix de cajou.
Le syndicat Agri-police possède une centaine de sections dans le Gontougo.