Sous l’invitation de la République Arabe d’Egypte, de ONU FEMMES, de l’Union Africaine, du programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), de la Commission Économique de l’Union Africaine pour l’Afrique et du Conseil National de la femme en Egypte, s’est tenu du 03 au 06 Février 2019, la Commission Ministérielle Africaine de la Condition de la Femme au Caire, en Egypte, sous le thème, ‘‘Système de Protection Sociale, Accès au Services Public et Infrastructure Durable pour une Égalité du Genre et l’Autonomisation des Femmes et des Filles’’.
Cette Session de haut niveau a réuni les ministères africains du genre représentés par leur Ministre, les experts du genre, la société civile ainsi que la jeunesse. Pendant plusieurs jours, des réflexions ont été menées autour du thème à l’effet de produire une déclaration qui porterait la voix officielle des femmes du continent en vue d’influencer des réformes dans l’action gouvernementale des Pays Africains.
Les jeunes femmes ont prit une part active aux travaux en produisant aussi, une déclaration, sous la forme d’un plaidoyer qui fut articulé autour de cinq (05) points prioritaires que sont : le renforcement du cadre légal, normative et institutionnel ; la réduction des disparités entre les genres ; la transformation des services public pour l’égalité entre les genres et l’autonomisation des jeunes femmes ; le renforcement des infrastructures d’investissement pour les femmes et les filles ; la mobilisation des ressources ; et le renforcement de la responsabilité et l’amélioration des données probantes.
La représentante désignée des jeunes femmes du continent, Mme Sefora Kodjo Kouassi, a longuement insisté sur les questions liées à l’accès aux opportunités de base et aux services publics visant à réduire les inégalités entre les genres.
Les conclusions de ces travaux seront présentées par les Ministres de la femme au cours du sommet mondiale du genre prévu dans les prochains mois au siège des Nations-Unies, à New York, aux États-Unis.
Cette Session de haut niveau a réuni les ministères africains du genre représentés par leur Ministre, les experts du genre, la société civile ainsi que la jeunesse. Pendant plusieurs jours, des réflexions ont été menées autour du thème à l’effet de produire une déclaration qui porterait la voix officielle des femmes du continent en vue d’influencer des réformes dans l’action gouvernementale des Pays Africains.
Les jeunes femmes ont prit une part active aux travaux en produisant aussi, une déclaration, sous la forme d’un plaidoyer qui fut articulé autour de cinq (05) points prioritaires que sont : le renforcement du cadre légal, normative et institutionnel ; la réduction des disparités entre les genres ; la transformation des services public pour l’égalité entre les genres et l’autonomisation des jeunes femmes ; le renforcement des infrastructures d’investissement pour les femmes et les filles ; la mobilisation des ressources ; et le renforcement de la responsabilité et l’amélioration des données probantes.
La représentante désignée des jeunes femmes du continent, Mme Sefora Kodjo Kouassi, a longuement insisté sur les questions liées à l’accès aux opportunités de base et aux services publics visant à réduire les inégalités entre les genres.
Les conclusions de ces travaux seront présentées par les Ministres de la femme au cours du sommet mondiale du genre prévu dans les prochains mois au siège des Nations-Unies, à New York, aux États-Unis.