Une délégation du Ministère de la Solidarité, de la Cohésion Sociale et de la Lutte contre la Pauvreté, conduite par le Professeur Kouamé N’guessan,chef de cabinet dudit ministère , s’est rendue ce jeudi 28 février 2019, à Treichville au domicile de Mohamed Koné, une victime tétraplégique de la crise post-électorale de 2010 ; afin de s’enquérir de son état de santé.
Bénéficiant d’une prise en charge médicale et psychologique dans le cadre du processus d’indemnisation , Mohamed reçoit régulièrement des soins en Côte d’ivoire. Dans le courant de l’année 2017, il a bénéficié de soins particuliers dans un hôpital au Maroc aux frais de l’État de Côte d’Ivoire.
Outre la prise en charge médicale , il bénéficie comme les victimes en situation d’invalidité de mesures additionnelles.
La visite des émissaires de la Ministre Mariatou Koné, avait également pour but de lui adresser les félicitations de la Ministre pour ses actions en faveur de la paix à travers l’ONG qu’il a créé ; regroupant des victimes de la crise post-électorale.
Saluant les actions du Gouvernement en faveur des victimes, Mohamed au cours de cette visite surprise ; il a rendu un hommage au chef de l’État « Je ne m’y attendais vraiment pas. Ça fait plaisir de savoir que nonobstant tout ce que fait le gouvernement pour moi et pour l’ensemble des victimes, je reçoive des visites régulières », Je voudrais rendre hommage au Président Alassane Ouattara , pour ‘’l’initiative louable’’ d’indemniser les victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire. Une initiative éloquemment mise en œuvre par le professeur Mariatou Koné, à en croire ses propos.
Ayant reçu une balle à la moelle épinière lors de la crise post-électorale , qui lui a fait perdre l’usage de ses membres, Mohamed Koné a été la première victime évacuée hors du territoire national. De retour à Abidjan, il se rend régulièrement à ses séances de rééducation, grâce à la prise en charge médicale dont il bénéficie. Aujourd’hui, il y a de quoi à reprendre goût à la vie. « J’arrive à me mouvoir de plus en plus aujourd’hui, chose qui n’était pas possible il y a quelques mois ». Ce qui a certainement amené l’homme à mettre sur pied son mouvement pour la réconciliation dont il se dit déterminé et engagé dans la voie du pardon et de la tolérance prônée par le Président de la République. « Je ne souhaite pas ce qui m’est arrivé, arrive aux autres. La guerre n’est pas une bonne chose », a t’il plaidé.
Bénéficiant d’une prise en charge médicale et psychologique dans le cadre du processus d’indemnisation , Mohamed reçoit régulièrement des soins en Côte d’ivoire. Dans le courant de l’année 2017, il a bénéficié de soins particuliers dans un hôpital au Maroc aux frais de l’État de Côte d’Ivoire.
Outre la prise en charge médicale , il bénéficie comme les victimes en situation d’invalidité de mesures additionnelles.
La visite des émissaires de la Ministre Mariatou Koné, avait également pour but de lui adresser les félicitations de la Ministre pour ses actions en faveur de la paix à travers l’ONG qu’il a créé ; regroupant des victimes de la crise post-électorale.
Saluant les actions du Gouvernement en faveur des victimes, Mohamed au cours de cette visite surprise ; il a rendu un hommage au chef de l’État « Je ne m’y attendais vraiment pas. Ça fait plaisir de savoir que nonobstant tout ce que fait le gouvernement pour moi et pour l’ensemble des victimes, je reçoive des visites régulières », Je voudrais rendre hommage au Président Alassane Ouattara , pour ‘’l’initiative louable’’ d’indemniser les victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire. Une initiative éloquemment mise en œuvre par le professeur Mariatou Koné, à en croire ses propos.
Ayant reçu une balle à la moelle épinière lors de la crise post-électorale , qui lui a fait perdre l’usage de ses membres, Mohamed Koné a été la première victime évacuée hors du territoire national. De retour à Abidjan, il se rend régulièrement à ses séances de rééducation, grâce à la prise en charge médicale dont il bénéficie. Aujourd’hui, il y a de quoi à reprendre goût à la vie. « J’arrive à me mouvoir de plus en plus aujourd’hui, chose qui n’était pas possible il y a quelques mois ». Ce qui a certainement amené l’homme à mettre sur pied son mouvement pour la réconciliation dont il se dit déterminé et engagé dans la voie du pardon et de la tolérance prônée par le Président de la République. « Je ne souhaite pas ce qui m’est arrivé, arrive aux autres. La guerre n’est pas une bonne chose », a t’il plaidé.