Le Groupement des organisations féminines pour l’égalité Hommes/Femmes (GOFEHF) et Leadafricaines ont salué vendredi, jour de la journée internationale de la femme, l’adoption du projet de loi sur la promotion des droits politiques de la femme, pris en conseil de ministres.
Ce projet de loi est relatif à l’article 36 qui stipule que l’Etat doit œuvrer à la promotion des droits politiques de la femme en augmentant ses chances d’accès à la représentation dans les assemblées élues.
« C’est fait, le projet est enfin adopté et notre joie est grande et immense », s’est réjoui la présidente du GOFEHF, Rachel Gogoua.
Cependant dans une analyse comparative entre l’avant-projet de loi et le projet adopté, la présidente du GOFEHF, a relevé que des mesures proposées par les femmes n’ont pas été prises en compte.
« Si nous approuvons le minimum de 30% pour les scrutins uninominaux, nous revendiquons la parité pour les scrutins de liste », avant de lancer un appel aux femmes en ces termes. « Femmes ivoiriennes le combat continue, parce qu’il y a le vote de la loi à l’assemblée nationale et ma prise du décret d’application », a-t-elle exhorté
Selon Mme Gogoua, l’expression "quota minimum" est inappropriée et propose que le mot "quota" soit retirée du texte.
Rachel Gogoua et Leadafricaines, représentée par sa présidente Zamblé Goergette ont noté une avancée notable et exprimé leur gratitude au gouvernement ivoirien. « Nous adressons nos sincères remerciements à son Excellence, M. le Président de la République, au premier ministre ainsi qu’aux membres du Gouvernement pour leur engagement et disponibilité. (…) Mais ce n’est pas fini », ont-elles fait savoir.
Notons que la rencontre a été organisée avec le soutien technique et financier de ONU Femmes en Côte d’Ivoire.
Ce projet de loi est relatif à l’article 36 qui stipule que l’Etat doit œuvrer à la promotion des droits politiques de la femme en augmentant ses chances d’accès à la représentation dans les assemblées élues.
« C’est fait, le projet est enfin adopté et notre joie est grande et immense », s’est réjoui la présidente du GOFEHF, Rachel Gogoua.
Cependant dans une analyse comparative entre l’avant-projet de loi et le projet adopté, la présidente du GOFEHF, a relevé que des mesures proposées par les femmes n’ont pas été prises en compte.
« Si nous approuvons le minimum de 30% pour les scrutins uninominaux, nous revendiquons la parité pour les scrutins de liste », avant de lancer un appel aux femmes en ces termes. « Femmes ivoiriennes le combat continue, parce qu’il y a le vote de la loi à l’assemblée nationale et ma prise du décret d’application », a-t-elle exhorté
Selon Mme Gogoua, l’expression "quota minimum" est inappropriée et propose que le mot "quota" soit retirée du texte.
Rachel Gogoua et Leadafricaines, représentée par sa présidente Zamblé Goergette ont noté une avancée notable et exprimé leur gratitude au gouvernement ivoirien. « Nous adressons nos sincères remerciements à son Excellence, M. le Président de la République, au premier ministre ainsi qu’aux membres du Gouvernement pour leur engagement et disponibilité. (…) Mais ce n’est pas fini », ont-elles fait savoir.
Notons que la rencontre a été organisée avec le soutien technique et financier de ONU Femmes en Côte d’Ivoire.