Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Dr Albert Mabri Toikeusse, a distribué, vendredi, aux femmes des différents services de son département, des « roses sans épines » pour leur contribution « avec douceur » aux activités du ministère.
Les femmes avaient symboliquement reçu un pagne pour la Journée internationale des droits des femmes célébrée à Bouaké le 8 mars dernier, pour saluer leur dignité et le respect qui leur est traditionnellement dû en Afrique et en Côte d’Ivoire.
En célébrant celles de son ministère, vendredi, au pied de la Tour D, dans les jardins de la Cité administrative du Plateau, Mabri Toikeusse leur a remis, à chacune, une rose sans épine.
« Ces roses sont un hommage qui doit vous être rendu au quotidien. Nous les avons choisies "sans épines" pour marquer votre apport colossal dans le bon fonctionnement du ministère et votre collaboration faite de douceur et d’abnégation », a relevé Mabri Toikeusse.
Sans citer de statistique de la représentativité des femmes au sein du personnel, le ministre a indiqué que son département enregistre deux directrices centrales sur trois, une présidente d’université, des doyennes d’universités, plusieurs sous-directrices ou encore des inspectrices.
« Ce n’est pas suffisant (…) mais avec le rôle de la femme dans le processus d’éducation de base, dans la famille et de la société, la femme a bien sa place dans l’Enseignement supérieur, au bout de la chaîne de l’éducation », a-t-il ajouté, s’engageant à continuer d’agir pour leur faire davantage de places afin qu’elles continuent de bâtir un « système d’éducation pour des ressources humaines compétentes ». « Donnez le meilleur de vous-mêmes pour franchir tous les obstacles à votre épanouissement », leur a-t-il lancé.
Au nom des femmes, la sous-directrice des affaires juridiques, Groguhet Rita Carine, avait affirmé qu’elles sont prêtes pour lui, avec lui, à ses côtés, pour « son sens élevé du management des hommes », l’encourageant à poursuivre ce qu’il a commencé en leur donnant « plus de visibilité à la tête de postes de responsabilité ».
(AIP)
aaa/kam
Les femmes avaient symboliquement reçu un pagne pour la Journée internationale des droits des femmes célébrée à Bouaké le 8 mars dernier, pour saluer leur dignité et le respect qui leur est traditionnellement dû en Afrique et en Côte d’Ivoire.
En célébrant celles de son ministère, vendredi, au pied de la Tour D, dans les jardins de la Cité administrative du Plateau, Mabri Toikeusse leur a remis, à chacune, une rose sans épine.
« Ces roses sont un hommage qui doit vous être rendu au quotidien. Nous les avons choisies "sans épines" pour marquer votre apport colossal dans le bon fonctionnement du ministère et votre collaboration faite de douceur et d’abnégation », a relevé Mabri Toikeusse.
Sans citer de statistique de la représentativité des femmes au sein du personnel, le ministre a indiqué que son département enregistre deux directrices centrales sur trois, une présidente d’université, des doyennes d’universités, plusieurs sous-directrices ou encore des inspectrices.
« Ce n’est pas suffisant (…) mais avec le rôle de la femme dans le processus d’éducation de base, dans la famille et de la société, la femme a bien sa place dans l’Enseignement supérieur, au bout de la chaîne de l’éducation », a-t-il ajouté, s’engageant à continuer d’agir pour leur faire davantage de places afin qu’elles continuent de bâtir un « système d’éducation pour des ressources humaines compétentes ». « Donnez le meilleur de vous-mêmes pour franchir tous les obstacles à votre épanouissement », leur a-t-il lancé.
Au nom des femmes, la sous-directrice des affaires juridiques, Groguhet Rita Carine, avait affirmé qu’elles sont prêtes pour lui, avec lui, à ses côtés, pour « son sens élevé du management des hommes », l’encourageant à poursuivre ce qu’il a commencé en leur donnant « plus de visibilité à la tête de postes de responsabilité ».
(AIP)
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