Abidjan- La Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) a présenté, lundi, les résultats d’une étude relative aux 18 radios confessionnelles, en vue d’évaluer leur impact et d'amener les opérateurs à être attentifs aux attentes de leur audience.
« La HACA a commandité une étude afin d'évaluer la perception et l'impact des radios confessionnelles. Je voudrais dire que les résultats présentés ce matin, ne sont ni un classement, ni un palmarès. Il s'agit d'un effort de compréhension, compte tenu du caractère hétérogène des radios. Celles-ci n'ont ni le même âge, ni la même emprise spatiale de diffusion », a précisé M. Sy Savané.
« Evaluer est une action indispensable lorsque l'on veut prévoir, accompagner et améliorer le profil d'un secteur quel qu'il soit. Le vrai objectif que nous visons, est d'amener les opérateurs que vous êtes, à être attentifs aux attentes de votre audience. C'est cela l'essentiel. Il est important de se souvenir qu'à la fin des fins, la satisfaction de votre audience est l'ultime instance de validation de vos choix éditoriaux », a-t-il souligné.
Conduite du 2 au 12 décembre 2018, cette étude sur « L’audience et l’image des radios confessionnelles en Côte d’Ivoire », a été réalisée sur la base d’un échantillon de 1500 personnes âgées de 15 ans et plus, et ce, dans 20 localités couvrant 16 régions et districts du territoire national.
Selon ce sondage, les radios plus connues sont la radio Al Bayane, radio Fréquence Vie, radio Espoir et radio nationale Catholique.
Les radios confessionnelles sont essentiellement écoutées entre 6h et 7h, pour la formation spirituelle notamment enseignements, prêches et témoignages.
Le président de l’Union des médias confessionnels de Côte d’Ivoire (UMCCI), Cissé Djiguiba, a indiqué que cette étude démontre la vision du président de la HACA de mieux structurer les médias en Côte d’Ivoire surtout les médias confessionnels, afin qu’ils soient des outils de développement pour notre nation.
« Cette rencontre est d’une importance capitale car elle nous permettra de connaitre notre place, d’identifier nos forces et faiblesses, dans cet environnement fortement concurrentiel. Notre union réitère son engagement à jouer son rôle dans le processus de paix, de réconciliation et de la préservation de la cohésion sociale », a-t-il signifié.
Les radios confessionnelles ont fait leur apparition dans le paysage audiovisuel depuis 1989 par le biais d’un accord entre le Saint Siège et l’Etat de Côte d’Ivoire. Ce qui a conduit à la création de la toute première radio confessionnelle Radio Espoir.
ena/fmo
« La HACA a commandité une étude afin d'évaluer la perception et l'impact des radios confessionnelles. Je voudrais dire que les résultats présentés ce matin, ne sont ni un classement, ni un palmarès. Il s'agit d'un effort de compréhension, compte tenu du caractère hétérogène des radios. Celles-ci n'ont ni le même âge, ni la même emprise spatiale de diffusion », a précisé M. Sy Savané.
« Evaluer est une action indispensable lorsque l'on veut prévoir, accompagner et améliorer le profil d'un secteur quel qu'il soit. Le vrai objectif que nous visons, est d'amener les opérateurs que vous êtes, à être attentifs aux attentes de votre audience. C'est cela l'essentiel. Il est important de se souvenir qu'à la fin des fins, la satisfaction de votre audience est l'ultime instance de validation de vos choix éditoriaux », a-t-il souligné.
Conduite du 2 au 12 décembre 2018, cette étude sur « L’audience et l’image des radios confessionnelles en Côte d’Ivoire », a été réalisée sur la base d’un échantillon de 1500 personnes âgées de 15 ans et plus, et ce, dans 20 localités couvrant 16 régions et districts du territoire national.
Selon ce sondage, les radios plus connues sont la radio Al Bayane, radio Fréquence Vie, radio Espoir et radio nationale Catholique.
Les radios confessionnelles sont essentiellement écoutées entre 6h et 7h, pour la formation spirituelle notamment enseignements, prêches et témoignages.
Le président de l’Union des médias confessionnels de Côte d’Ivoire (UMCCI), Cissé Djiguiba, a indiqué que cette étude démontre la vision du président de la HACA de mieux structurer les médias en Côte d’Ivoire surtout les médias confessionnels, afin qu’ils soient des outils de développement pour notre nation.
« Cette rencontre est d’une importance capitale car elle nous permettra de connaitre notre place, d’identifier nos forces et faiblesses, dans cet environnement fortement concurrentiel. Notre union réitère son engagement à jouer son rôle dans le processus de paix, de réconciliation et de la préservation de la cohésion sociale », a-t-il signifié.
Les radios confessionnelles ont fait leur apparition dans le paysage audiovisuel depuis 1989 par le biais d’un accord entre le Saint Siège et l’Etat de Côte d’Ivoire. Ce qui a conduit à la création de la toute première radio confessionnelle Radio Espoir.
ena/fmo