Le Sous-Directeur chargé de la gestion des sites pollués et de la lutte contre les végétaux aquatiques au Centre Ivoirien Anti-pollution (CIAPOL), Achille Gueu, a exhorté, dans un entretien avec APA, les producteurs à éviter les produits phytosanitaires pour éviter à la lagune le phénomène « des salades de mers ».
« C’est souvent les lessivages des sols contenant des produits phytosanitaires qui sont trimbalés dans l’eau », décrit l’expert Achille Gueu, comme l’une des principales causes de ces végétaux aquatiques communément appelés salades de mer aperçus régulièrement sur les eaux à Abidjan.
Selon lui, ces végétaux qui sont « des indicateurs » de la pollution, sont, également, le fruit de l’accumulation des nutriments dans certaines zones sur nos cours d’eau, provoquant la prolifération de ces espèces », a-t-il ajouté.
Ce phénomène entraine beaucoup de conséquences sur des activités notamment des populations riveraines.
« Ils freinent la fluidité sur la lagune. Ils empêchent le trafic des cultivateurs qui veulent aller dans leur champ à l’aide de pirogues de même que les loisirs pour les touristes », a regretté Achille Gueu.
Au niveau du CIAPOL, « on a des missions de prospections par rapport à ces zones de production, on suit leur progression. C’est un cycle annuel .On a des barrages que nous mettons », a conclu M. Gueu.
Le CIAPOL a, entre autres pour missions l'analyse systématique des eaux naturelles (marines, lagunaires, fluviales, souterraines et météoriques), des déchets (solides, liquides et gazeux) et des résidus, l'évaluation des pollutions et nuisances.
L'établissement d'un système de surveillance continue des milieux dénommé « Réseau national d'Observation de Côte d’Ivoire (RNO-CI) » en relation avec les divers ministères et organismes concernés dans le cadre de la protection de l'environnement, la collecte et la capitalisation des données environnementales, la diffusion des données environnementales et des résultats du Réseau national d'Observation de Côte d'Ivoire (RNO-CI) aux ministères et organismes concernés par les problèmes de sauvegarde de l'environnement, figurent également sur la liste de ses missions.
SY/hs/ls/APA
« C’est souvent les lessivages des sols contenant des produits phytosanitaires qui sont trimbalés dans l’eau », décrit l’expert Achille Gueu, comme l’une des principales causes de ces végétaux aquatiques communément appelés salades de mer aperçus régulièrement sur les eaux à Abidjan.
Selon lui, ces végétaux qui sont « des indicateurs » de la pollution, sont, également, le fruit de l’accumulation des nutriments dans certaines zones sur nos cours d’eau, provoquant la prolifération de ces espèces », a-t-il ajouté.
Ce phénomène entraine beaucoup de conséquences sur des activités notamment des populations riveraines.
« Ils freinent la fluidité sur la lagune. Ils empêchent le trafic des cultivateurs qui veulent aller dans leur champ à l’aide de pirogues de même que les loisirs pour les touristes », a regretté Achille Gueu.
Au niveau du CIAPOL, « on a des missions de prospections par rapport à ces zones de production, on suit leur progression. C’est un cycle annuel .On a des barrages que nous mettons », a conclu M. Gueu.
Le CIAPOL a, entre autres pour missions l'analyse systématique des eaux naturelles (marines, lagunaires, fluviales, souterraines et météoriques), des déchets (solides, liquides et gazeux) et des résidus, l'évaluation des pollutions et nuisances.
L'établissement d'un système de surveillance continue des milieux dénommé « Réseau national d'Observation de Côte d’Ivoire (RNO-CI) » en relation avec les divers ministères et organismes concernés dans le cadre de la protection de l'environnement, la collecte et la capitalisation des données environnementales, la diffusion des données environnementales et des résultats du Réseau national d'Observation de Côte d'Ivoire (RNO-CI) aux ministères et organismes concernés par les problèmes de sauvegarde de l'environnement, figurent également sur la liste de ses missions.
SY/hs/ls/APA