Abidjan, Recevant les Organisations de la Société Civile (OSC) dans le cadre de la 2ème phase du processus de dialogue sur la réforme de la Commission Electorale Indépendante (CEI), le 28 mars 2019 à Abidjan, le Premier Ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, a dit avoir apprécié la teneur de leur contribution et a invité tous les acteurs à s’inscrire dans un dialogue constructif.
« Je souhaite que tous les acteurs soient disposés à s’inscrire dans un dialogue constructif, empreint d’une grande responsabilité et d’une volonté commune d’aboutir à une composition de la CEI acceptée de tous », a dit Amadou Gon Coulibaly.
Pour le Premier Ministre, la question de la CEI est au cœur du processus électoral et elle doit donc être abordée avec lucidité, courage et sans passion. « Il nous appartient, à tous, de faire en sorte que le réexamen de la composition de la CEI soit l’occasion d’une confrontation d’idées et de points de vue techniques », a-t-il ajouté.
Selon le Chef du gouvernement, le processus entamé doit être également l’occasion d’une affirmation par tous de la volonté de sortir définitivement des violences électorales qui résultent plus des querelles politiciennes que de la défaillance du système électoral.
Après examen des différentes propositions, Amadou Gon Coulibaly a relevé certaines préoccupations qui devraient faire l’objet de discussions plus approfondies. A savoir : la composition de la commission centrale, la représentation de la société civile, la composition du bureau, le mode de désignation des membres, la problématique des commissions locales, etc. La société civile dispose de deux semaines pour faire parvenir sa position sur ces questions.
« Je souhaite que tous les acteurs soient disposés à s’inscrire dans un dialogue constructif, empreint d’une grande responsabilité et d’une volonté commune d’aboutir à une composition de la CEI acceptée de tous », a dit Amadou Gon Coulibaly.
Pour le Premier Ministre, la question de la CEI est au cœur du processus électoral et elle doit donc être abordée avec lucidité, courage et sans passion. « Il nous appartient, à tous, de faire en sorte que le réexamen de la composition de la CEI soit l’occasion d’une confrontation d’idées et de points de vue techniques », a-t-il ajouté.
Selon le Chef du gouvernement, le processus entamé doit être également l’occasion d’une affirmation par tous de la volonté de sortir définitivement des violences électorales qui résultent plus des querelles politiciennes que de la défaillance du système électoral.
Après examen des différentes propositions, Amadou Gon Coulibaly a relevé certaines préoccupations qui devraient faire l’objet de discussions plus approfondies. A savoir : la composition de la commission centrale, la représentation de la société civile, la composition du bureau, le mode de désignation des membres, la problématique des commissions locales, etc. La société civile dispose de deux semaines pour faire parvenir sa position sur ces questions.