Le Conseil de sécurité a organisé ce lundi 1er avril 2019, de 15h à 18h, une réunion ministérielle sur la problématique du respect du Droit International Humanitaire dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
Cette réunion de haut niveau, a été présidée par S.E.M Heiko Josef MAAS, Ministre Fédéral des Affaires Étrangères de la République Fédérale d’Allemagne, Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars.
Dans sa déclaration, l’Ambassadeur Léon Kacou ADOM, Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire auprès de l’ONU, a noté que « l’émergence de nouveaux acteurs asymétriques, qui opèrent en marge des codes convenus du Droit de la guerre et se livrent à diverses formes de violences contre les populations et les infrastructures civiles, a fondamentalement changé la typologie des conflits dans le monde ».
Face à cette nouvelle donne, il a insisté sur la nécessité pour le Conseil de Sécurité de promouvoir une approche préventive, à travers le respect scrupuleux du « Principe de la distinction, qui constitue la pierre angulaire du Droit International Humanitaire, et qui doit s’imposer à tous les belligérants, en tout temps et en tout lieu ».
Poursuivant, le Diplomate ivoirien a indiqué que la promotion de l’État de Droit et du Droit International Humanitaire est « au centre des préoccupations du Gouvernement ivoirien, tout en évoquant l’éventail, des mesures prises par la Côte d’Ivoire, pour la mise en œuvre des Traités et Conventions en matière de Droit humanitaire auxquels elle a librement souscrit ».
Il a ainsi mis un accent particulier sur le fait que la « Côte d’Ivoire, qui entend se faire une place de choix parmi les pays contributeurs de troupes aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, accorde la plus grande attention à la sensibilisation et à la formation de ses contingents avant leur déploiement, à travers des modules de formation aux Droits de l’Homme et au Droit International Humanitaire ».
Pour conclure, l’Ambassadeur Léon Kacou ADOM a, au nom de la Côte d’Ivoire, encouragé tous les États membres à promouvoir un ordre international basé sur le multilatéralisme, en vue de faire respecter le Droit International Humanitaire qui « constitue, pour l’humanité, la dernière barrière de protection contre la barbarie, contribuant ainsi à faire de ce monde, un havre de paix et de sécurité ».
Cette réunion de haut niveau, a été présidée par S.E.M Heiko Josef MAAS, Ministre Fédéral des Affaires Étrangères de la République Fédérale d’Allemagne, Président du Conseil de sécurité pour le mois de mars.
Dans sa déclaration, l’Ambassadeur Léon Kacou ADOM, Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire auprès de l’ONU, a noté que « l’émergence de nouveaux acteurs asymétriques, qui opèrent en marge des codes convenus du Droit de la guerre et se livrent à diverses formes de violences contre les populations et les infrastructures civiles, a fondamentalement changé la typologie des conflits dans le monde ».
Face à cette nouvelle donne, il a insisté sur la nécessité pour le Conseil de Sécurité de promouvoir une approche préventive, à travers le respect scrupuleux du « Principe de la distinction, qui constitue la pierre angulaire du Droit International Humanitaire, et qui doit s’imposer à tous les belligérants, en tout temps et en tout lieu ».
Poursuivant, le Diplomate ivoirien a indiqué que la promotion de l’État de Droit et du Droit International Humanitaire est « au centre des préoccupations du Gouvernement ivoirien, tout en évoquant l’éventail, des mesures prises par la Côte d’Ivoire, pour la mise en œuvre des Traités et Conventions en matière de Droit humanitaire auxquels elle a librement souscrit ».
Il a ainsi mis un accent particulier sur le fait que la « Côte d’Ivoire, qui entend se faire une place de choix parmi les pays contributeurs de troupes aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, accorde la plus grande attention à la sensibilisation et à la formation de ses contingents avant leur déploiement, à travers des modules de formation aux Droits de l’Homme et au Droit International Humanitaire ».
Pour conclure, l’Ambassadeur Léon Kacou ADOM a, au nom de la Côte d’Ivoire, encouragé tous les États membres à promouvoir un ordre international basé sur le multilatéralisme, en vue de faire respecter le Droit International Humanitaire qui « constitue, pour l’humanité, la dernière barrière de protection contre la barbarie, contribuant ainsi à faire de ce monde, un havre de paix et de sécurité ».