Les rideaux se sont refermés sur l’édition 2019 de « Abidjan Jazz by BICICI » et le moins que l’on puisse dire c’est que cette édition a véritablement tenu ses promesses.
Depuis sa création, ce festival a pour ambition de réunir clients et partenaires de la BICICI autour d’un amour commun de la musique jazz.
La programmation est donc un savant mélange de talents locaux (confirmés ou en cours d’éclosion) partageant l’affiche avec des figures internationales.
Pour 2019, c’est le trompettiste Boney FIELDS qui a ouvert le festival avec un concert qui a déplacé du beau monde au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, le soir du 26 avril.
Le public a découvert et apprécié la voix puissante du natif de Chicago, qui a littéralement « mis le feu » pendant deux heures sur scène.
La BICICI a ensuite donné rendez-vous aux aficionados à l’Institut Français, d’abord le vendredi 03 mai avec la sublime Laïka FATIEN. Dans un registre beaucoup plus feutré, l’auteure de « Come a little closer » a transporté le public avec son band aux mélodies envoutantes. La prestation ponctuelle de l’immense Paco SERY (Parrain du festival) à la batterie a complété une prestation fortement appréciée par les puristes du Jazz.
Pour la dernière date (04 mai), les invités ont pu découvrir la relève du jazz ivoirien dénommée affectueusement « Les Eléphanteaux du Jazz » : Assohoun, Soukeïna Young et Trinity.
Le premier, l’ « Enfant Noir », a distillé de belles notes de son saxophone, agrémentées de son riche héritage ouest-africain fièrement revendiqué. Soukeïna Young, quant à elle a montré la polyvalence de sa texture vocale, qui montre clairement qu’elle est un talent à suivre de près. Enfin, Trinity, quatuor composé de jeunes talents particulièrement inspirés pour l’occasion, a conclu le festival de fort belle manière en faisant littéralement lever la foule sur leurs compositions.
« Plus qu’un évènement culturel, Abidjan Jazz by BICICI matérialise aussi notre appui sans faille à la promotion des arts, cultures et musique en Côte d’Ivoire » ces mots du Directeur Général de la BICICI, M. Yao KOUASSI, augurent d’une édition 2020 pleine de promesses…
Depuis sa création, ce festival a pour ambition de réunir clients et partenaires de la BICICI autour d’un amour commun de la musique jazz.
La programmation est donc un savant mélange de talents locaux (confirmés ou en cours d’éclosion) partageant l’affiche avec des figures internationales.
Pour 2019, c’est le trompettiste Boney FIELDS qui a ouvert le festival avec un concert qui a déplacé du beau monde au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, le soir du 26 avril.
Le public a découvert et apprécié la voix puissante du natif de Chicago, qui a littéralement « mis le feu » pendant deux heures sur scène.
La BICICI a ensuite donné rendez-vous aux aficionados à l’Institut Français, d’abord le vendredi 03 mai avec la sublime Laïka FATIEN. Dans un registre beaucoup plus feutré, l’auteure de « Come a little closer » a transporté le public avec son band aux mélodies envoutantes. La prestation ponctuelle de l’immense Paco SERY (Parrain du festival) à la batterie a complété une prestation fortement appréciée par les puristes du Jazz.
Pour la dernière date (04 mai), les invités ont pu découvrir la relève du jazz ivoirien dénommée affectueusement « Les Eléphanteaux du Jazz » : Assohoun, Soukeïna Young et Trinity.
Le premier, l’ « Enfant Noir », a distillé de belles notes de son saxophone, agrémentées de son riche héritage ouest-africain fièrement revendiqué. Soukeïna Young, quant à elle a montré la polyvalence de sa texture vocale, qui montre clairement qu’elle est un talent à suivre de près. Enfin, Trinity, quatuor composé de jeunes talents particulièrement inspirés pour l’occasion, a conclu le festival de fort belle manière en faisant littéralement lever la foule sur leurs compositions.
« Plus qu’un évènement culturel, Abidjan Jazz by BICICI matérialise aussi notre appui sans faille à la promotion des arts, cultures et musique en Côte d’Ivoire » ces mots du Directeur Général de la BICICI, M. Yao KOUASSI, augurent d’une édition 2020 pleine de promesses…