A l’initiative du Professeur Mariatou Koné, Ministre de la Solidarité de la Cohésion Sociale et de la Lutte contre la Pauvreté et présidente du Comité Régional de Pilotage (CRP) du projet d’Autonomisation des Femmes et le Dividende Démographique dans le Sahel (Swedd), 40 structures nationales issues des ministères techniques impliquées dans la mise en œuvre dudit projet en Côte d’Ivoire ainsi que des organisations de la société civile aiguisent leurs connaissances sur les stratégies et techniques de communication pour le développement relatif à la composante 1 (déclinée en sous composante 1.1 et 1.2) relative à la communication pour le changement social et comportemental (CCSC).
Bamba Aboulaye, directeur de cabinet de la Ministre Mariatou Koné a ouvert les travaux de cet atelier de renforcement de capacités, le mardi 14 mai à Abidjan dans les locaux de l’Association Ivoirienne pour le Bien-être Familial (AIBEF).
Durant trois jours, il sera question de mettre à la disposition des bénéficiaires, des outils en vue de revoir la mise en œuvre des plans opérationnels pour favoriser les activités qui impulsent directement le changement social et comportemental, faciliter l’adoption d’une méthode de CCSC, cohérente avec le cadre de performance et les indicateurs d’impact de la composante 1.1 de l’initiative Swedd et surtout renforcer les capacités des structures nationales sur les techniques de création de contenus.
Au terme de la formation, les bénéficiaires devraient disposer d’une méthodologie pratique de développement et de mise en œuvre de campagnes en harmonie avec celle utilisée au niveau régional.
Akré Stephen, l’un des participants, agent communautaire de l’AIBEF pour la région du Hambol est satisfait de disposer d’outils pour mener une campagne de changement de comportement à Katiola où la question du genre se pose avec acuité.
Lancé officiellement 2015, le projet « Autonomisation des Femmes et de Dividende Démographique au Sahel » (SWEDD) est une initiative régionale impliquant sept pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre confrontés à des défis sociodémographiques identiques (Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad et le Bénin entré en janvier 2019).
Il vise à renforcer le niveau d’autonomisation des femmes et des adolescentes en vue d’accélérer la transition démographique dans la région.
Financé par la Banque Mondiale, il est mis en œuvre par les pays avec l’appui technique du Fonds des Nations Unies pour la Population et l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS).
Bamba Aboulaye, directeur de cabinet de la Ministre Mariatou Koné a ouvert les travaux de cet atelier de renforcement de capacités, le mardi 14 mai à Abidjan dans les locaux de l’Association Ivoirienne pour le Bien-être Familial (AIBEF).
Durant trois jours, il sera question de mettre à la disposition des bénéficiaires, des outils en vue de revoir la mise en œuvre des plans opérationnels pour favoriser les activités qui impulsent directement le changement social et comportemental, faciliter l’adoption d’une méthode de CCSC, cohérente avec le cadre de performance et les indicateurs d’impact de la composante 1.1 de l’initiative Swedd et surtout renforcer les capacités des structures nationales sur les techniques de création de contenus.
Au terme de la formation, les bénéficiaires devraient disposer d’une méthodologie pratique de développement et de mise en œuvre de campagnes en harmonie avec celle utilisée au niveau régional.
Akré Stephen, l’un des participants, agent communautaire de l’AIBEF pour la région du Hambol est satisfait de disposer d’outils pour mener une campagne de changement de comportement à Katiola où la question du genre se pose avec acuité.
Lancé officiellement 2015, le projet « Autonomisation des Femmes et de Dividende Démographique au Sahel » (SWEDD) est une initiative régionale impliquant sept pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre confrontés à des défis sociodémographiques identiques (Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad et le Bénin entré en janvier 2019).
Il vise à renforcer le niveau d’autonomisation des femmes et des adolescentes en vue d’accélérer la transition démographique dans la région.
Financé par la Banque Mondiale, il est mis en œuvre par les pays avec l’appui technique du Fonds des Nations Unies pour la Population et l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS).