Aboisso- Un atelier régional sur la rédaction et la soumission de projets au Fonds international pour la diversité des expressions culturelles (FIDC) s’est ouvert ce mercredi à Assinie à l’initiative de l’UNESCO.
Le Pr Secongo Fernand, représentant le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandama, a estimé que la tenue de cet atelier va permettre aux acteurs du monde de la culture de non seulement bénéficier de la vulgarisation des procédures de financement des projets culturels, mais de pouvoir également soumettre leurs projets au FIDC.
Le FIDC demeure un élément clé pour l’émergence d’un secteur culturel plus dynamique des pays, a affirmé le Pr Secongo, déplorant toutefois la faible participation des pays au Fonds international pour la diversité des expressions culturelles.
L’objectif de l’atelier est de renforcer les capacités des acteurs du secteur de la culture, afin de leur fournir des rudiments nécessaires à la soumission des projets adhérents aux critères de sélection au FIDC.
L’atelier regroupe des représentants du Bénin, de la Guinée, du Togo et de la Côte d’Ivoire, et se tient dans l’optique d’aider les acteurs de la culture à soumettre des projets qui adhèrent aux critères de sélection du FIDC, a-t-on appris.
Il permettra aux 34 participants de bénéficier d’une formation sur le développement des projets à soumettre, de la présentation du Guide annoté pour la soumission des demandes de financement et d’exercices sur la rédaction des projets à soumettre.
Le FIDC est un fonds institué par l’article 18 de la convention de 2005 sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles. Ce fonds vise à promouvoir le développement durable et la réduction de la pauvreté dans les pays en développement qui font Cet atelier régional prend fin jeudi.
Akn/kp
Le Pr Secongo Fernand, représentant le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandama, a estimé que la tenue de cet atelier va permettre aux acteurs du monde de la culture de non seulement bénéficier de la vulgarisation des procédures de financement des projets culturels, mais de pouvoir également soumettre leurs projets au FIDC.
Le FIDC demeure un élément clé pour l’émergence d’un secteur culturel plus dynamique des pays, a affirmé le Pr Secongo, déplorant toutefois la faible participation des pays au Fonds international pour la diversité des expressions culturelles.
L’objectif de l’atelier est de renforcer les capacités des acteurs du secteur de la culture, afin de leur fournir des rudiments nécessaires à la soumission des projets adhérents aux critères de sélection au FIDC.
L’atelier regroupe des représentants du Bénin, de la Guinée, du Togo et de la Côte d’Ivoire, et se tient dans l’optique d’aider les acteurs de la culture à soumettre des projets qui adhèrent aux critères de sélection du FIDC, a-t-on appris.
Il permettra aux 34 participants de bénéficier d’une formation sur le développement des projets à soumettre, de la présentation du Guide annoté pour la soumission des demandes de financement et d’exercices sur la rédaction des projets à soumettre.
Le FIDC est un fonds institué par l’article 18 de la convention de 2005 sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles. Ce fonds vise à promouvoir le développement durable et la réduction de la pauvreté dans les pays en développement qui font Cet atelier régional prend fin jeudi.
Akn/kp