Organisé à l’intention d’agences de voyage exerçant en Côte d’Ivoire, par la wild chimpanzee foundation (WCF), en collaboration avec l’Office Ivoirien des parcs et réserves (OIPR) et COTE D’IVOIRE TOURISME, l’Office National du Tourisme, l’éductour a permis de faire découvrir le parc national de Taï, du 08 au 12 avril 2019.
En vue de proposer des services de qualité à leur clientèle, ces spécialistes du voyage se sont prêtés à ce séjour dans le parc national de Tai, pour un tourisme de nature.
En effet, la gestion de façon efficace de programmes voyage nécessite des compétences et du savoir-faire pour planifier les types de séjours dans les règles de l’art, et ce, conformément aux besoins, aux exigences et au budget des clients qui ont recours à leurs services. Pour ce faire, la maîtrise des sites est un préalable.
Remarquable et exceptionnel, le site du parc national de Tai s’est laissé observer à travers 2 heures 30 de marche et deux jours de présence effective dans la nature sauvage.
Ainsi au cours de ce voyage de familiarisation, la diversité floristique et faunique du parc avec des espèces de singes, dont les mangabeys et les colobes rouges, a été fortement appréciée.
Observés dans leur milieu naturel, les singes mangabey constituent une des curiosités du parc. En effet, suivi par les éco-guides du parc national de Tai, le groupe de mangabeys, composé d’une dizaine de mâles adultes, d’une vingtaine de femelles adultes et d’une quarantaine d’adolescents et de bébés, est habitué à la présence humaine, offrant de ce fait, de beaux spectacles aux visiteurs.
Sortis du parc, cap a été mis sur le village de GOULEAKO 1, localité située à 7km de la ville de TAI. L’objectif : repérer les multiples facettes des traditions culturelles du peuple OUBI de la région du Cavally.
Avec la conviction que, seule, dans une approche intégrée, une action de sensibilisation de l’Etat, avec la coopération des partenaires et l’implication des populations autochtones, peut protéger les éléments essentiels du patrimoine naturel. L’OIPR, instrument du Ministère de l’Environnement et du Développement durable et la WCF, développent, de plus en plus, une politique locale de communication promotion des parcs et réserves nationaux, incluant la découverte du patrimoine naturel ivoirien et la lutte contre de braconnage et la déforestation.
En vue de proposer des services de qualité à leur clientèle, ces spécialistes du voyage se sont prêtés à ce séjour dans le parc national de Tai, pour un tourisme de nature.
En effet, la gestion de façon efficace de programmes voyage nécessite des compétences et du savoir-faire pour planifier les types de séjours dans les règles de l’art, et ce, conformément aux besoins, aux exigences et au budget des clients qui ont recours à leurs services. Pour ce faire, la maîtrise des sites est un préalable.
Remarquable et exceptionnel, le site du parc national de Tai s’est laissé observer à travers 2 heures 30 de marche et deux jours de présence effective dans la nature sauvage.
Ainsi au cours de ce voyage de familiarisation, la diversité floristique et faunique du parc avec des espèces de singes, dont les mangabeys et les colobes rouges, a été fortement appréciée.
Observés dans leur milieu naturel, les singes mangabey constituent une des curiosités du parc. En effet, suivi par les éco-guides du parc national de Tai, le groupe de mangabeys, composé d’une dizaine de mâles adultes, d’une vingtaine de femelles adultes et d’une quarantaine d’adolescents et de bébés, est habitué à la présence humaine, offrant de ce fait, de beaux spectacles aux visiteurs.
Sortis du parc, cap a été mis sur le village de GOULEAKO 1, localité située à 7km de la ville de TAI. L’objectif : repérer les multiples facettes des traditions culturelles du peuple OUBI de la région du Cavally.
Avec la conviction que, seule, dans une approche intégrée, une action de sensibilisation de l’Etat, avec la coopération des partenaires et l’implication des populations autochtones, peut protéger les éléments essentiels du patrimoine naturel. L’OIPR, instrument du Ministère de l’Environnement et du Développement durable et la WCF, développent, de plus en plus, une politique locale de communication promotion des parcs et réserves nationaux, incluant la découverte du patrimoine naturel ivoirien et la lutte contre de braconnage et la déforestation.