Le Comité exécutif de la Fédération ivoirienne de Football (FIF) a décidé de lever les « sanctions disciplinaires » à l’encontre de certains dirigeants de clubs notamment Koné Cheick Oumar de l’Africa Sport d’Abidjan et Salif Bictogo du Stella Club d’Adjamé, a appris APA vendredi de source fédérale.
Selon un communiqué publié vendredi sur le site internet de la FIF visité par APA, cette décision de de l’instance fédérale intervient dans « un souci d’apaisement et de renforcement de la cohésion de tous les membres actifs ».
« Cette décision est consécutive à l’Assemblée générale mixte qui s’est tenue le samedi 25 mai dernier à la Fondation Félix Houphouët-Boigny», explique le texte.
Par ailleurs, au niveau du football féminin, le Comité a décidé « de révoquer Madame Ezoua Christine, membre dudit Comté et Présidente de la Commission du football féminin, pour manquements d’une extrême gravité, rendant intolérable son maintien au sein de ladite instance ». Elle est remplacée par Ginette Ross, Présidente du club Issia Wazi .
Salif Bictogo avait été sanctionné pour 2 ans après avoir accusé la fédération de blanchissement d’argent. Quant à Koné Cheick, il avait écopé de sanctions en 2014 « pour manquements graves ».
SY/ls/APA
Selon un communiqué publié vendredi sur le site internet de la FIF visité par APA, cette décision de de l’instance fédérale intervient dans « un souci d’apaisement et de renforcement de la cohésion de tous les membres actifs ».
« Cette décision est consécutive à l’Assemblée générale mixte qui s’est tenue le samedi 25 mai dernier à la Fondation Félix Houphouët-Boigny», explique le texte.
Par ailleurs, au niveau du football féminin, le Comité a décidé « de révoquer Madame Ezoua Christine, membre dudit Comté et Présidente de la Commission du football féminin, pour manquements d’une extrême gravité, rendant intolérable son maintien au sein de ladite instance ». Elle est remplacée par Ginette Ross, Présidente du club Issia Wazi .
Salif Bictogo avait été sanctionné pour 2 ans après avoir accusé la fédération de blanchissement d’argent. Quant à Koné Cheick, il avait écopé de sanctions en 2014 « pour manquements graves ».
SY/ls/APA