Bouna-La représentation régionale du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) du Bounkani, à l'issue d'une formation destinée aux associations d'enfants de Bouna, a exhorté ceux-ci à sensibiliser leurs parents sur la nécessité de déclarer les naissances.
La formation, financée par le HCR, a eu lieu samedi et portait sur l'importance de l'état civil. Ce fut l'occasion pour la vingtaine d'adolescents, participant à l'atelier, de cerner la problématique de la lutte contre l'apatridie, un phénomène encore visible dans cette région.
Pour les formateurs, les grandes vacances qui s'annoncent, apparaissent comme l'une des périodes propices de retrouvailles familiales où ces enfants, issus pour la plupart de zones rurales, doivent échanger avec leurs parents sur le phénomène.
Le HCR estime que tout le monde, petit comme grand, doit faire passer le message pour que la communauté soit imprégnée de la notion d'apatridie afin de lutter pour son éradication.
Un apatride est une personne qu’aucun État ne considère comme son ressortissant par sa législation. En Côte d’Ivoire, près de 700 000 personnes sont à risque d’apatridie, selon le ministère de la Justice.
on/fmo
La formation, financée par le HCR, a eu lieu samedi et portait sur l'importance de l'état civil. Ce fut l'occasion pour la vingtaine d'adolescents, participant à l'atelier, de cerner la problématique de la lutte contre l'apatridie, un phénomène encore visible dans cette région.
Pour les formateurs, les grandes vacances qui s'annoncent, apparaissent comme l'une des périodes propices de retrouvailles familiales où ces enfants, issus pour la plupart de zones rurales, doivent échanger avec leurs parents sur le phénomène.
Le HCR estime que tout le monde, petit comme grand, doit faire passer le message pour que la communauté soit imprégnée de la notion d'apatridie afin de lutter pour son éradication.
Un apatride est une personne qu’aucun État ne considère comme son ressortissant par sa législation. En Côte d’Ivoire, près de 700 000 personnes sont à risque d’apatridie, selon le ministère de la Justice.
on/fmo