La direction de campagne du journaliste Bamba Idrissa, candidat déclaré à l’élection du président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire ( UNJCI) prévue en juillet prochain, a invité jeudi à Abidjan, le Conseil d’administration de cette faîtière des hommes de médias ivoiriens, à organiser un vote transparent et crédible, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« Il est important pour la direction de campagne du candidat Bamba Idrissa d’inviter le Conseil d’administration de l’UNJCI à tout mettre en œuvre pour l’organisation d’un congrès qui devra se solder par un vote transparent, crédible et défait de toute contestation de l’ensemble des parties impliquées dans ce jeu électoral », a souhaité Sam Wakouboué, le directeur de campagne de M. Bamba dans une conférence de presse dite de « clarification et de confirmation ».
Le congrès ordinaire de l’UNJCI, la principale faîtière des organisations professionnelles des médias en Côte d’Ivoire, est prévu les 20 et 21 juillet 2019. Ces assises devraient se solder par le renouvellement des instances de cette organisation avec l’élection du président du Conseil exécutif de l’Union.
En plus de M. Bamba Idrissa, quatre autres candidats ont aussi déclaré leur candidature pour succéder à Moussa Traoré, l’actuel président de l’UNJCI. Il s’agit des journalistes Félix Diby Boni, Lance Touré, Jean-Claude Coulibaly et Franck Ettien.
Répondant à ceux qui évoquent un éventuelle invalidation de la candidature du candidat Bamba Idrissa à cette élection, estimant qu’il est membre du Conseil municipal de Koumassi (Sud d’Abidjan) où qu’il n’a pas toujours été présent aux activités de l’UNJCI, M. Wakouboué a démontré le contraire.
« Bien que l’article 27 de l’UNJCI interdit la participation des hommes politiques au jeu électoral de l’Union, nulle part, cet article ne note de façon exhaustive, la liste des postes qui confèrent la qualité de personnalité politique à un journaliste», a-t-il dit, insistant que son candidat « n’est pas un homme politique et qu’il tire l’essentiel de sa subsistance du métier de journaliste ».
Selon lui, « le Conseil municipal n’est pas politique». Réitérant sa confiance au Conseil d’administration de l’UNJCI (qui valide les candidatures pour l’élection à la présidence de cette organisation), M. Wakouboué, a conclu en appelant les journalistes ivoiriens à agir avec « efficacité et responsabilité». L’UNJCI, rappelle-t-on, est présidée depuis 2012 par Moussa Traoré, le président sortant.
LB/ls/APA
« Il est important pour la direction de campagne du candidat Bamba Idrissa d’inviter le Conseil d’administration de l’UNJCI à tout mettre en œuvre pour l’organisation d’un congrès qui devra se solder par un vote transparent, crédible et défait de toute contestation de l’ensemble des parties impliquées dans ce jeu électoral », a souhaité Sam Wakouboué, le directeur de campagne de M. Bamba dans une conférence de presse dite de « clarification et de confirmation ».
Le congrès ordinaire de l’UNJCI, la principale faîtière des organisations professionnelles des médias en Côte d’Ivoire, est prévu les 20 et 21 juillet 2019. Ces assises devraient se solder par le renouvellement des instances de cette organisation avec l’élection du président du Conseil exécutif de l’Union.
En plus de M. Bamba Idrissa, quatre autres candidats ont aussi déclaré leur candidature pour succéder à Moussa Traoré, l’actuel président de l’UNJCI. Il s’agit des journalistes Félix Diby Boni, Lance Touré, Jean-Claude Coulibaly et Franck Ettien.
Répondant à ceux qui évoquent un éventuelle invalidation de la candidature du candidat Bamba Idrissa à cette élection, estimant qu’il est membre du Conseil municipal de Koumassi (Sud d’Abidjan) où qu’il n’a pas toujours été présent aux activités de l’UNJCI, M. Wakouboué a démontré le contraire.
« Bien que l’article 27 de l’UNJCI interdit la participation des hommes politiques au jeu électoral de l’Union, nulle part, cet article ne note de façon exhaustive, la liste des postes qui confèrent la qualité de personnalité politique à un journaliste», a-t-il dit, insistant que son candidat « n’est pas un homme politique et qu’il tire l’essentiel de sa subsistance du métier de journaliste ».
Selon lui, « le Conseil municipal n’est pas politique». Réitérant sa confiance au Conseil d’administration de l’UNJCI (qui valide les candidatures pour l’élection à la présidence de cette organisation), M. Wakouboué, a conclu en appelant les journalistes ivoiriens à agir avec « efficacité et responsabilité». L’UNJCI, rappelle-t-on, est présidée depuis 2012 par Moussa Traoré, le président sortant.
LB/ls/APA