A l’initiative du CAIDP avec l’appui technique et financier du bureau de l’UNESCO, plusieurs journalistes et leurs chefs de rédaction suivent une formation du lundi 24 au mercredi 26 juin, à Grand Bassam, sur l’accès à l’information et le journalisme d’investigation.
L’objectif de cet atelier est d’encourager la pratique du journalisme d’investigation, en vue de favoriser un meilleur accès des populations aux informations.
L’enjeu qui entoure cette formation au journalisme d’investigation, c’est d’abord amener les journalistes à s’approprier la loi de 2013 relative à l’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics. Ayant a été constaté qu’en général, les journalistes ont du mal à avoir les documents ou les informations nécessaires à la rédaction de leurs articles.
Dans la quête d’un journalisme professionnel, cette loi a été créée en 2013 par l’Etat de Côte d’Ivoire pour aider les journalistes à accéder aux sources d’information. Elle s’inscrit dans un vaste programme ou une volonté politique réelle à savoir favoriser la gestion transparente des affaires de l’Etat, à travers la bonne gouvernance.
Selon Gooré Bi Hué, commissaire de la CAIDP (Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics), il s’agit de faire en sorte que la bonne gouvernance prévale dans tous les secteurs y compris celui de l’information et en favorisant le droit d’accès des citoyens à l’information. Cet atelier s’inscrit dans la suite des séminaires qui ont été déjà organisés, visant à renforcer les acquis des journalistes en matière de droit d’accès à l’information.
« La CAIDP veut aider au développement du journalisme d’investigation. La plupart des journalistes qui sont Ebony, en général, c’est à travers les grands genres, les grandes enquêtes et grands reportages, les grands dossiers », a déclaré Gooré Bi Hué, qui a représenté le président, Kébé Yacouba, à l’ouverture de ces travaux.
Il a donc été important pour lui, que l’accent soit mis sur ce journalisme de qualité de sorte qu’on puisse le voir émerger au niveau de la presse ivoirienne.
Il a indiqué qu’en la matière, le formateur Zio Moussa qui a pour mission d’orienter les échanges et réflexions, jouit d’une expérience édifiante qui va mieux aider les participants à comprendre le journalisme d’investigation. Et, par conséquent ils seront utiles à leurs rédactions respectives dans l’objectif d’arriver à donner des informations fiables aux citoyens.
L’objectif de cet atelier est d’encourager la pratique du journalisme d’investigation, en vue de favoriser un meilleur accès des populations aux informations.
L’enjeu qui entoure cette formation au journalisme d’investigation, c’est d’abord amener les journalistes à s’approprier la loi de 2013 relative à l’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics. Ayant a été constaté qu’en général, les journalistes ont du mal à avoir les documents ou les informations nécessaires à la rédaction de leurs articles.
Dans la quête d’un journalisme professionnel, cette loi a été créée en 2013 par l’Etat de Côte d’Ivoire pour aider les journalistes à accéder aux sources d’information. Elle s’inscrit dans un vaste programme ou une volonté politique réelle à savoir favoriser la gestion transparente des affaires de l’Etat, à travers la bonne gouvernance.
Selon Gooré Bi Hué, commissaire de la CAIDP (Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics), il s’agit de faire en sorte que la bonne gouvernance prévale dans tous les secteurs y compris celui de l’information et en favorisant le droit d’accès des citoyens à l’information. Cet atelier s’inscrit dans la suite des séminaires qui ont été déjà organisés, visant à renforcer les acquis des journalistes en matière de droit d’accès à l’information.
« La CAIDP veut aider au développement du journalisme d’investigation. La plupart des journalistes qui sont Ebony, en général, c’est à travers les grands genres, les grandes enquêtes et grands reportages, les grands dossiers », a déclaré Gooré Bi Hué, qui a représenté le président, Kébé Yacouba, à l’ouverture de ces travaux.
Il a donc été important pour lui, que l’accent soit mis sur ce journalisme de qualité de sorte qu’on puisse le voir émerger au niveau de la presse ivoirienne.
Il a indiqué qu’en la matière, le formateur Zio Moussa qui a pour mission d’orienter les échanges et réflexions, jouit d’une expérience édifiante qui va mieux aider les participants à comprendre le journalisme d’investigation. Et, par conséquent ils seront utiles à leurs rédactions respectives dans l’objectif d’arriver à donner des informations fiables aux citoyens.