Présidant la cérémonie de signature du rapport final du dialogue politique sur la réforme de la Commission Electorale Indépendante (CEI), le 26 juin 2019 à Abidjan, le Premier Ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, a indiqué que ce processus vise l’organisation d’élections apaisées, transparentes et crédibles en octobre 2020.
A cette rencontre, participaient plusieurs membres de partis politiques et d’organisations de la Société civile.
« Cette signature qui consacre les points d’accord et les points de divergence est une étape importante du dialogue politique. Nous voulons que les élections de 2020 soient apaisées, transparentes et crédibles », a dit Amadou Gon Coulibaly.
Se félicitant de l’intérêt accordé à ces échanges, le Premier Ministre s’est engagé à rendre compte au Chef de l’Etat Alassane Ouattara. Et d’ajouter que ledit rapport sera soumis au gouvernement qui avisera en Conseil des ministres.
Le rapport final indique les points d’accord qui concernent, entre autres, le retrait du représentant du président de l’Assemblée nationale et le retrait du représentant du ministre de l’Economie et des Finances.
Cependant, les participants ne se sont pas accordés sur la représentation du Président de la République, sur celle du ministre en charge de l’Intérieur et sur l’attribution du poste de président de la Commission centrale.
Le dialogue politique entre le gouvernement, les partis politiques et les organisations de la Société civile, en vue d’une réforme de la CEI, a débuté le 21 janvier 2019.
A cette rencontre, participaient plusieurs membres de partis politiques et d’organisations de la Société civile.
« Cette signature qui consacre les points d’accord et les points de divergence est une étape importante du dialogue politique. Nous voulons que les élections de 2020 soient apaisées, transparentes et crédibles », a dit Amadou Gon Coulibaly.
Se félicitant de l’intérêt accordé à ces échanges, le Premier Ministre s’est engagé à rendre compte au Chef de l’Etat Alassane Ouattara. Et d’ajouter que ledit rapport sera soumis au gouvernement qui avisera en Conseil des ministres.
Le rapport final indique les points d’accord qui concernent, entre autres, le retrait du représentant du président de l’Assemblée nationale et le retrait du représentant du ministre de l’Economie et des Finances.
Cependant, les participants ne se sont pas accordés sur la représentation du Président de la République, sur celle du ministre en charge de l’Intérieur et sur l’attribution du poste de président de la Commission centrale.
Le dialogue politique entre le gouvernement, les partis politiques et les organisations de la Société civile, en vue d’une réforme de la CEI, a débuté le 21 janvier 2019.